Courses
Vous voulez connaître les courses, les voici!
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- Checklistes - infos pratiques
- Calendrier
Me 2 avr. 2025
Morgin-en They-Tovassière
*Bonjour le printemps*….pour fêter le début des beaux jours, Marianne nous propose une randonnée en Valais. Pas moins de 26 mercredistes ont été séduits par son idée!
Après le café/croissant à Saxon...en chemin pour les sentiers des abricots et des adonis, en pleine floraison. La vallée du Rhône est la seule région de Suisse romande remplissant les conditions pour les adonis. Ses fleurs sont jaune vif, son apparence est délicate, l’adonis est un symbole de la beauté et de la diversité de la flore alpine.
Après être passés par La Tovassière et Champ Laurent, l’arrêt pique-nique se fait au pied de la Tour de Saxon, face à la petite église. Les murailles de l’ancien château , construction médiévale, ont complètement disparu.
118 – non, on a pas dû faire appel aux pompiers valaisans...mais c’est le nombre de marches pour accéder au sommet du donjon!!
Après 11kms, 500m de dénivelé et environ 3,5h de marche, arrivée à la gare de Charrat où on termine cette belle journée par une verrée sur la petite terrasse du Buffet de la gare.
19 personnes ont arpenté les 2 sentiers, alors que 7 autres se concentraient sur le sentier des adonis.
Mais toutes sont unanimes---grand merci à Marianne pour l’idée et l’organisation.
Bettina.








Ma 1 avr. 2025
Randonnée à ski du mardi
Magnifique course. Pointe des Trois Lacs, 2796m depuis le Super Saint-Bernard.
15 participants au départ et au retour :)
Météo :
Au début le temps était beau, mais ensuite les nuages sont arrivés d'Italie. Un peu de vent au sommet.
Conditions :
La poudre bien tassée en haut, la neige gelée en bas comme sur la piste.
La situation avalancheuse est stable.
Fréquentation :
En plus de notre équipe, il y avait 4 autres personnes. Peu fréquentée.
Ça donne envie de sortir mardi :)
Une excellente journée avec l’équipe de CAS. Merci Yvan pour cette course et l’organisation.
Bonne fin de saison à toutes et à tous !








Je 27 mar. 2025
Autour de Marly
La Gérine - Perle de rivière selon le WWF
But de notre sortie, les gorges de la Gérine.
A l’exception de quelques aménagements en aval, la Gérine a pu conserver une bonne partie de son caractère naturel. Ce cours d’eau, l'un des plus sauvages de Suisse, présente des habitats de rivière en tresse et de forêts alluviales particulièrement bien conservées, ce qui lui a valu le classement en tant que perle de rivière par le WWF Suisse.
La rivière prend sa source dans les Préalpes, sur les contreforts du Kapberg, de la Patta et de la Berra. Ses nombreux affluents lui fournissent une charge sédimentaire importante. La Gérine a une dynamique très active et s’écoule en tresses à de nombreux endroits. Cette dynamique crée des habitats naturels pour diverses espèces parmi lesquelles l’éphéméroptère, la truite de rivière et le chabot commun. (Source WWF).







Me 26 mar. 2025
Les Cerniers Dent de Valerette en raquettes
La neige étant absente aux Cerniers, la randonnée en raquetttes à été déplacée dans la vallée du Saint Bernard. Malgré les fleurs printanières et les gazouillis des oiseaux en plaine, 14 courageux se sont inscrits.
Nous sommes partis du parking du “Super Saint Bernard”. C’est tout blanc et nous pouvons mettre nos raquettes vers les voitures, certains montent à pieds. La longue montée sur la route du col est pénible à cause du dévers provoqué par la neige soufflée. Nous quittons la route du col juste avant la Combe des Morts pour monter dans la Combe de Barasson que nous montons jusqu’à presque 2400m. Notre groupe s’est divisée en trois, certains montant plus haut que les autres. Jusqu’au picnic, le soleil nous accompagne sans vent, ensuite le vent se lève et le ciel se couvre. A la descente, la température monte, et on se retrouve sur la neige de printemps et les piétons voient disparaître leus pieds par moment.
Ottar Johnsen






Ma 25 mar. 2025
Randonnée à ski du mardi
Génialissime Course !! Bravo et Merci Toto d’avoir organisé ce mardi 25 mars au pied levé. Nous sommes 6 à participer direction la Fouly pour la Dotse . Le rythme de montée est bon ( malgré qq sabots) …., soleil au zénith. Toto décide de poursuivre vers la Tête de Ferret , c’est grandiose. Mais ce n’est rien à côté de ce qui nous attend. Jacques nous ouvre la pente nord de la Tête de Ferret avant de poursuivre direction la Combe des Fonds . C’est top 👍 Le splendide mur est excellent: super poudreuse: on se régale . Quelle incroyable boucle, jusqu’à l’arrivée la neige porte. Nous sommes tous heureux.
Un grand merci pour cette splendide journée et cette joyeuse compagnie: Jacques, Nicole, Chantal, Carmen et bien sûr l’indispensable Toto !!!! Pascale Petiet








Di 23 mar. 2025
Sortie en famille
Fondue au grand air au Lac Retaud
Avec le foehn annoncé pour le week-end, difficile de trouver un coin tranquille pour une sortie en famille en Valais. Après quelques ajustements de dernière minute, nous sommes 11 à nous retrouver finalement au col du Pillon : trois familles, cinq enfants et six adultes, prêts à braver les éléments pour une belle journée dehors.
Premier défi : la logistique. Entre les sacs, le matériel et l’enthousiasme (variable) des enfants, il faut un peu d’organisation pour que tout le monde soit prêt. Une fois équipés, place à l’effort : la montée jusqu’au lac Retaud demande à chacun un petit coup de motivation, mais l’idée d’un pique-nique en plein air fait avancer petits et grands.
Au sommet, une fondue en pleine nature et un superbe gâteau partagé dans la bonne humeur, malgré quelques bourrasques fraîches. La descente se fait rapidement, surtout pour les enfants qui filent jusqu’au col du Pillon avec une énergie retrouvée. Tout le monde est ravi d’avoir pu profiter du grand air malgré la météo capricieuse.
Jolie sortie en famille avec une équipe au top !
Simon








Di 23 mar. 2025
Le beaufort 3048
Col du Bastillon
Petite sortie : le manque de neige sur les hauteurs de Bourg St-Pierre et un danger d’avalanche ayant augmenté, Yvan nous propose un plan B au Col du Bastillon.
Petite fenêtre météo : Le foehn se calme un peu, juste le temps de nous laisser effectuer notre sortie sous un magnifique ciel bleu.
Petite équipe : une seule voiture aura été nécessaire pour amener l’équipe du jour à Bourg-St-Bernard (Suzanne, Yvan, Dorian et votre serviteur). Mais comme on dit, mieux vaut la qualité à la quantité.
Petite couche de neige fraîche : ça c’est toujours que du bonheur !
Petite pause pic-nic et bière à Bourg-St-Pierre : ça c’est toujours que du bonheur (bis) !
Petit bouchon : entre Aigle et Villeneuve, normal un dimanche après-midi.
Petit, petit, petit, oui mais que la sortie fut belle et un tout grand merci à Yvan pour l’organisation.
Samuel








Sa 22 mar. 2025
Les Louèrettes, 3'069m
Intro musicale :
Les Louèrettes, gentilles Louèrettres,
Les Louèrettes, je vous skierai
Le mardi par la face Est, Samedi, ça m’dit face Ouest
La face Est, la face Est,
Et l’Ouest, et l’Ouest,
Ah, Ah, Ah, Ah
Les Louèrettes, gentilles Louèrettres,
Les Louèrettes, je vous skierai
Après une magnifique sortie du mardi aux Louèrettes depuis Pralong, nous voici repartis aux Louèrettes par Siviez, sur un itinéraire tout différent et autant superbe.
Après un départ de la maison un peu chahuté par une voiture bloquant mon garage, nous arrivons presque à l’heure au rendez-vous de la Nendette pour un café. On discute des vents tempétueux de la veille qui se sont calmés durant la nuit et de la météo des derniers jours un poil capricieuse qui n’a pas facilité la tâche de notre chef de course du jour.
Nous montons ensuite à Siviez et sommes chauds et chaussés à 8h40 pour gravir les premières pentes. Stéphane, muni d’un appareil sophistiqué, contrôle le rythme du groupe qui pourrait avoir une légère tendance à accélérer. Notre troupe dépasse d’ailleurs d’autres groupes de type « sortie CAS ». Nous arrivons à ski un peu en-dessus du col et escaladons à pied les derniers mètres pour arriver vers 12h10 au pré-sommet convoité. Un petit calcul rapide permet de comprendre que les « 4 heures de montée + les pauses » ont été un chouilla compressées. Si c’était pour me faire taire, c’est réussi ; mais pour faire taire Walter, …
Peu importe : la vue est splendide. On craignait l’arrivée du jour blanc, c’est un jour bleu qui se présente. Toutefois, côté sud, le foehn sévit et les 4000 mettent leur chapeau de nuage en moins d’un quart d’heure.
A la descente, nous trouvons quelques pentes revenues à point, premières moquettes de l’année pour certains d’entre nous.
La sortie se termine autour d’une table garnie de bières pression ou panachée, cappuccino, tarte au citron, fondant au chocolat et sur des chaises équipées de peaux de mouton et de couvertures fort appréciées par certaine participante.
Merci à toutes et tous pour la belle ambiance et un merci particulier à Stéphane pour l’organisation.
Carmen








Me 19 mar. 2025
Basse Engadine
Participants : Isabelle, Annick, Christiane, Sylvie, Gladys, Vivien, Yvo et André (chef de course).
1er jour : S-Charl, Basse Engadine
Certains matins débutent bien plus tôt que d’autres… Le mercredi 19 mars dernier fut l’un de ceux-ci. Notre chef de course espérait en effet atteindre notre destination (S-Charl dans les Grisons) au plus vite, afin d’effectuer une première sortie ce jour-là. Malheureusement cet espoir ne se réalisa guère en raison des problèmes techniques de notre train qui nous firent rater notre correspondance à Zurich.
Finalement arrivés à Scuol, nous pûmes embarquer dans le taxi qui nous attendait afin de nous mener à la fameuse calèche, qui nous amena au petit trot à notre destination finale.
Une première mise en bouche, skis aux pieds, nous permit de découvrir une infime partie de cette magnifique région.
2ème jour : Piz Sesvenna
Après la petite mise en jambe du jour d’arrivée, il était évident pour la majorité de l’équipe que nous allions gravir le Piz Sesvenna cette première journée !
Nous étions au taquet jeudi matin pour attaquer cette ascension. La journée s’annonçait magnifique : grand ciel bleu.
Nous avons démarré tranquillement : André nous avait avertis que nous aurions une longue montée : nous avons d’abord longé la rivière, dans un paysage magnifique avec une belle végétation typique de la région : mélèzes, sapins et petites fleurs. Après quelques pauses pour nous dévêtir ou recharger notre batterie, nous avons commencé l’ascension en douceur, dans une belle neige aérienne et scintillante ; une dernière partie raide avant d’arriver au col, à 3204 mètres, a été plus contraignante mais nous nous sommes encouragés. A l’arrivée, nous avons déchaussé et gravi les derniers mètres à pied. Faute de temps, nous avons renoncé à escalader les derniers mètres de rocher jusqu’au sommet et préféré garder l’énergie qu’il nous restait pour descendre les magnifiques pentes qui s’offraient à nous : un gigantesque champ de poudreuse vierge pour l’équipe ! Quel régal, quel kif ! Même si nous sommes quelque peu fourbus après cette montée, nous avons largement encore assez d’énergie pour cette belle et longue descente et nous en avons profité ! Une petite pause sandwich s’est imposée avant de terminer la dernière partie qui a sollicité nos bras sur le long plat le long de la rivière ! Nous voici de retour à l’hôtel Mayor à 15h30, contents, bien fatigués mais enchantés de cette belle journée !
3ème jour : Piz Mezdi
Deuxième rando, avec pour objectif le Piz Mezdi (2883m) ou le Mot dal Gajer (2797m), on se décidera pour l’un ou l’autre quand on sera à pied d’œuvre. Comme le jour précédent, la course commence par un long passage presqu’à plat au fond d’un très beau vallon le long de la rivière Clemgia (150 mètres de dénivelé en une heure !) jusqu’à Plan d’Immez, avant que nous n’attaquions enfin la montée, au début commune, en direction de nos deux sommets possibles. Vers 2400 mètres d’altitude, on se décide pour le Piz Mezdi, qui a fière allure avec sa couronne rocheuse, et on trace dans une combe raide jusqu’à rejoindre l’arête neigeuse menant à la dépose de skis, au pied du sommet rocheux. La descente par le même itinéraire nous offre l’occasion d’un magnifique concert : les arêtes métalliques de nos skis caressent avec énergie les pointes acérées des cailloux cachés sous la neige, produisant des sons stridents aux accords dignes d’un orchestre de musique contemporaine ! Heureusement, le pique-nique entre soleil et nuages, la fin de la descente sur un tapis douillet de neige revenue, le bain chaud en plein air, le repas grison bien roboratif et surtout le gâteau tout aussi roboratif commandé tout spécialement par André pour l’anniversaire d’Isabelle, laissent un peu de répit aux semelles de nos skis durement éprouvées. Jusqu’au lendemain…
4ème jour : Piz Plazer
06h45, réveil dans la chambre 10… Annick préfère rester 1/4h de plus sous la couette… A 6h30 précises, Vivien et Christiane les assidus ;-) ainsi que Gladys, pour ce matin-là, attendons notre maître yogi Yvo pour le réveil tibétain : derviche tourneur puis tête dans les mains, clic-clac et grand repos, le chameau puis l’enfant, la table puis le repos et enfin la montagne et l’enfant. Nous voilà prêts pour le petit déjeuner.
Départ skis aux pieds, ou presque, à 8h10. L’équipe est au complet et André donne le rythme sur la première longueur qui longe la rivière Clemgia, encore elle. Après moins de 2 km, nous nous élevons enfin dans une jolie forêt jusqu’à l’Alp Tablasot en suivant le chemin d’été passablement gelé, tout en écoutant les jolies mélodies des premiers oiseaux du printemps.
La montée qui suit semble ne jamais vouloir s’arrêter mais l’enthousiasme d’Annick donne la motivation nécessaire au groupe pour atteindre le col encore invisible. Il faut dire qu’on n’a pas vraiment envie de redescendre sur ce versant : on nous a en effet promis de la poudre du côté de l’adret.
Bientôt le col est en vue : il reste quelque 180 mètres de montée.
Il est pile midi lorsque nous y arrivons, bien heureux de voir enfin un ciel bleu. Des becs, des photos, des rires… un peu de thé chaud et nous voilà prêts pour la descente.
La neige est bonne quoiqu’un peu lourde, mais qu’à cela ne tienne, nos cuisses en béton dessinent de très beaux virages sur les presque 1000 mètres de descente.
Nous nous éparpillons sur des cailloux non loin de la rivière Aua Sesvenna pour le pique-nique.
La pause terminée, nous rejoignons le tracé que nous connaissons du premier jour. Le petit toboggan dans la forêt est un régal… mais attention, hors du chemin, la neige est pourrie. Gladys et Isabelle y testent le planter des skis et des bras…
De retour à l’auberge, il ne nous reste qu’à profiter une dernière fois des plaisirs qu’elle nous offre : un rafraîchissement sur la terrasse ensoleillée, un bain nordique, un sauna, accompagné du traditionnel gâteau aux noix d’Annick, un bon repas et une tout aussi traditionnelle partie de Uno.
5ème jour
Le long retour au bercail a été l’activité principale de la journée.
Merci André pour ces magnifiques journées aux Grisons !








Me 19 mar. 2025
Col de Villars-Tremetta Raquettes
Nous voilà embarqués par Bruno pour le parking de La Cuva....d’où part un sentier raquettes pour un circuit qui passe par le Pralet.
La neige est à nouveau assez bonne, avec quelques petits tronçons qui en sont dépourvue.
Plus l’on monte, plus les sommets des préalpes fribourgeoises se révèlent à nos yeux ravis.
Le groupe se scindera par 2 fois en 6 et 9 participants, la première fois pour le petit détour au sommet du Pralet, la seconde après le pic-nic, pour rallonger le retour.
Le pic-nic, d’ailleurs, un grand moment de bonheur, assis dans l’herbe face à la chaîne des Verreaux, la Cape au Moine, le Col du soladier, le Molard, le Folly, et même les Dents du Midi avec le sommet du Mont-Blanc.
Nous avons été très gâtés par Bruno qui nous a offert café/croissant au départ. puis par Jo, pour le pot de l’arrivée….ceci grâce à un sac oublié du pic-nic et un certain déshabillage de Serge…
Merci à Bruno pour l’organisation et au groupe pour la joyeuse ambiance.
Sylviane.








Ma 18 mar. 2025
Randonnée à ski du mardi
Découvrez le dernier épisode de la série “Les mardistes font du ski”. Réalisation : Carmen sur une idée de Toto, avec par ordre alphabétique Catherine, Laurent, Pascale, Philippe, Simon, Suzanne, Thomas et la participation spéciale de Delphine et Natacha.
On leur avait promis du soleil (facile) et de la poudre (plus risqué) : on a gagné les deux paris !
Départ de la buvette de Praperrot, entre Hérémence et Pralong vers 9h.
Montée en trois épisodes : couche de neige un poil mince, couche un peu plus fournie sur fond transfomé, poudreuse de rêve.
A peine 4 heures plus tard (quelle pêche !), la troupe arrive au pt 2915 convoité. Les plus valeureuses z’et valeureux esclaladeront immédiatement les 50 mètres menant à la Pointe de la Rosette située juste en-dessus. Une deuxième fournée de valeureuses z’et valeureux s’y essaieront avec plus au moins de succès après avoir repris leur souffle. L’essentiel étant de participer et de revenir entier, là encore, pari gagné !
On admire le paysage dont les majestueux Bishorn, Weisshorn, Rothorn, Grand Cornier ainsi que la Dent Blacnche. On mange. Mais il nous faut penser à tourner les dernières scènes avant que la lumière ne décline. On rembobine le film. On s’engage dans la magnifique combe poudreuse penchée maintenant dans l’autre sens, puis la couche transformée et finalement la couche mince laissant parfois apparaître quelques décimètres carrés de pâturage ou de bitume selon qu’on ait choisi de couper à travers champs ou de suivre la route.
Nous cherchons en vain un bistrot dans la val d’Hérémence pour terminer l’aventure, mais tous sont fermés à la ligue mardiste pourtant pacifique.
Nous trouvons finalement refuge au Café de la Place à Vex avant de rejoindre la douce chaleur de nos foyers.
Merci à toute l’équipe du tournage pour cette belle histoire. Feuilleton à suivre de près assurément.
Carmen







Di 16 mar. 2025
Horlini
une journée bien bouchée du point de vue météo, mais ça nous a permis de prendre l’air. On était quatre.
30 cm de neige fraiche bien savoneuse. On a quand même fait une jolie decente sur la piste.
Un petit arrêt à la chane (Liddes) pour un petite bière bien méritée.
Yvan






Me 12 mar. 2025
le Molard
Exit le Molard….la journée est reprise par Anne et Daniel qui nous emmènent faire une virée du Mont-Pélerin à Chexbres.
La météo maussade a dissuadé quelques personnes et nous nous retrouvons 7 à l’arrivée du funi. Ottar, encore plus courageux, est monté à pied depuis Vevey!
Finalement, la météo a été très clémente et nous avons eu beaucoup de plaisir à baguenauder dans les forêts du Mont-Pélerin, et passer par Cremières, avant de nous arrêter à Lignières...à la Pinte Forney, pour le pic-nic et y déguster les délicieuses tartes aux pommes d’Anne….et grâce aux absents…...double portion!!!!!!
Après de bonnes discussions à table, Ottar descend à pied à St-Saph….Claudine remonte à Jongny, tandis que Monique, Christine et moi allons jusqu’à Chexbres.
Un grand merci à Anne et Daniel pour cette très sympathique journée et leur bel accueil...à la Pinte!
Sylviane.








Ma 11 mar. 2025
Randonné à ski du mardi
Nous étions 13 à nous retrouver à Ovronnaz, motivés pour aller chercher la neige en altitude. Après un passage en télésiège, nous nous équipons à 2000 m avec la belle surprise de trouver 5 cm de neige fraîche. Direction le col de Basse, en maintenant un rythme régulier comme tous les mardis. Quelques pauses pour ajuster les couches et boire un peu, puis nous atteignons, 600 m plus haut, une belle section vierge avec 10 cm immaculés où nous avons le plaisir de faire la trace.
Une éclaircie relative nous accompagne dans une descente en neige bien skiable sur le versant nord-est. Une fois arrivé en bas, les plus motivés remettent les peaux pour 300 m de rab, tandis qu’un petit groupe profite des pistes grâce au Magic Pass.
Une heure trente plus tard, tout le monde se retrouve à Ovronnaz pour un verre bien mérité.
Merci à toute l’équipe pour l’ambiance et à bientôt pour la prochaine !
Simon





Lu 10 mar. 2025
constitution du programme été 2025 pour CdC été
Une soirée toute sympathique pour préparer le programme estival entre chefs-fes de courses!!
Suivi d’une bonne raclette!


Sa 8 mar. 2025
Monte de l'etoile
Après quelques défections dont une le matin même, c’est un petit comité formé du chef de course Robert, de son adjointe Carmen et du rescapé Florian qui se lance à la conquête du Mont de l’Etoile. Florian et Carmen arrive à deux minutes près à retrouver Robert dans le bus postal à la Coutaz pour rejoindre Arolla. Le trio prend les téléskis jusqu’au col de la Forclette. On met une petite briquette pour arriver rapidement au col de la Cassorte, déjà équipé d’une corde fixe. Robert et Florian en auront porté chacun une pour rien. On passe rapidement le passage clé avant les groupes suivants et évitons ainsi de nous retrouver dans un bouchon. Bien joué !
Jolie descente du glacier des Ignes dans une neige encore poudreuse mais un peu trafollée par endroit. Nous remettons les peaux et attaquons la traversée sous les Aiguilles Rouges d’Arolla. Paysage grandiose de tous côtés : plein feu sur les Bishorn, Weisshorn, Rothorn de Zinal, Grand Cornier, Dent Blanche, Dents de Veisivi, Aiguille de la Tsa, Bouquetins, Mont Collon, Pigne et j’en passe.
Petite pause près d’un lac invisible à 2900 mètres d’altitude puis dernière pente sous le Mont Etoile. Je suis au bout de ma vie, mais qu’elle est belle ! Le panorama s’ouvre sur les sommets du versant nord des Alpes.
Robert et Florian mettent les crampons et gravissent les 50 mètres restant jusqu’au sommet du sommet. Je reste un poil en-dessous. Pas envie de me louper sur un rocher un peu exposé pour mon état de fatigue. Il fait froid avec le vent qui souffle.
Après les 200 premiers mètres de neige dure et soufflée sous le sommet, une jolie descente soutenue dans une poudreuse un peu tassée mais quasi vierge nous attend. Une dernière traversée nettement plus exposée au soleil nous fait rejoindre l’itinéraire de la Palantze de la Cretta. Nous arrivons juste à temps pour attraper le bus grâce à ses 3 minutes de retard.
Merci l’équipe pour l’ambiance très sympatique et à bientôt pour une nouvelle aventure.
Carmen






Sa 8 mar. 2025
Dreizehntenhorn, Ginalshorn, Altstafelhorn
Au congélateur puis au four, dans la poudre puis la papotche, seuls au monde et sur piste, Sam nous a fait vivre une sortie de toutes les diversités. Une seule constante: la bonne humeur du groupe, insufflée par un chef de course souriant et des clubistes contents (et, selon, ahanants).
Depuis Unterbäch, nous avons eu le plaisir de découvrir les deux télésièges et deux arbalètes de la station, toutes en longueur et en vallons ombragés… et bien gelés ! Heureusement, dès notre arrivée à Seefeld, le soleil a vite réchauffé nos doigts et nos oreilles, et c’est en t-shirt pour certains, un peu plus pour d’autres que nous avons commencé à monter. Mi-parcours de l’ascension du Driizänduhoru, les troupes furent remotivées par un effeuillage réalisé par Félix, et c’est toujours avec le sourire, peut-être un peu forcé, aux lèvres que le portage des derniers mètres avant le sommet furent effectués. Au sommet, un festin mérité, et une superbe descente dans de la délicieuse poudre au nord qui a bien récompensé nos efforts.
Deuxième courte montée ensuite: 400m à avaler pour atteindre le sommet du Ginalshorn. Autre montée, autre ambiance: la neige est trempée, le soleil cogne, la compacité du groupe n’est plus qu’un souvenir… mais le sommet est atteint, et la vue est cette fois encore plus une récompense. Le massif du Mont Rose, Weishorn, Bishorn, Dent Blanche, Dents du Midi, Diablerets, Bietschorn, Monte Leone, Fletschhorn, Weismies… on croirait que tout ce qu’il y a de majestueux et enneigé au monde s’est donné rendez-vous là pour le plaisir de nos yeux, quel bonheur ! Dernière scission du groupe entre ceux qui préfèrent descendre par le nord de la combe et ceux qui prennent le sud: vite réunis, vite en bas, vite autour d’une table à profiter d’une chaise confortable et d’une boisson bien appréciée. On apprécie et souligne les efforts de chef de course pour trouver toujours la meilleure neige possible, on remercie les chauffeurs d’avoir chauffé et les CFFs d’avoir ferrové, et… on se revoit bientôt sur un autre sommet !








Me 5 mar. 2025
Saint Cergue- La Barillette-La Dôle
Encore une belle journée entre potes mercredistes!!!!!
Après diverses reconnaissances, Ottar a changé de but et nous amène au col des Mosses.
Après un raide montée commune, deux groupes se forment, un de 9 personnes pour monter aux Petits Lacs, et un autre de 3 marcheurs pour aller au Lac Lioson admirer le lac perforé de 3 gros trous pour le plongeurs hivermaux!!
Nous nous retrouvons tous à la jonction des descentes, pour terminer sur la terrasse ensoleillée du bar le Cosmos.
Daiel fêtant joyeusement ses 65 ans, il nous a génreusement offert la tournée.
Grand merci à Ottar pour cette belle journée appréciée de tous.
Sylviane.








Ma 4 mar. 2025
Randonnée à ski du mardi








Sa 1 mar. 2025
Dent de Morcles avec nuit à la cabane de Fenestral
06 :48 ; départ du train depuis Lausanne sur le quai 9 ¾, wagon 4 ½. Le groupe est lancé et on sent tout de suite une déferlante d’énergie positive s’abattre dans le wagon 4 ½. Le soleil brille, les sourires sont de sortie, le week-end s’annonce sans anomalies!
08 :55 ; arrivée à Ovronnaz, et la première anomalie, c’est pour David : « Franck je crois que j’ai laissé allumé mon DVA toute la semaine ». (Le « je crois » était pour alléger le propos mais David en était bel et bien sûr). Cela aurait pu en être une d’anomalie, si Franck, AKA le couteau, n’en était pas justement un de couteau suisse. Sans broncher, il sort 3 batteries de son sac, le départ peut être lancé.
09 :34 à la Garmin, les peaux sont placées, la crème solaire est appliquée, le chrono peut être lancé ! L’ascension commence calmement jusqu’à ce petit raccourci qui, bosselé, raide et gelé, vient tester nos protagonistes dont les conversions sont mises à l’épreuve d’entrée de jeux, mais l’honneur est sauf. Désormais, ni la résilience du groupe, ni l’ouverture de hanche de notre chef de course bien aimé, n’est encore à démontrer!
12 :30 ; arrivée au col de Fenestral sous un soleil radieux. Tout le monde est affamé et se réjouit de dévorer son pic-nic devant le panorama presque imbattable que nous offre le foyer de la cabane de Fenestral si bien gardiennée. On est mieux ici qu’en prison!
13 :30 ; La saga des options est lancée ! C’est parmi un panel bien étoffé que nous avons choisi de repartir pour fouler les pentes si aguicheuses des « Taconnets » à l’exception de Romain qui choisit un repos bien mérité. Sous le menton de la « Tête de Cornieule », dont l’ombre portée nous offre une neige douce, juste un peu croquante sous la dent, mais seulement où la face s’est laissée atteindre par le vent. L’un après l’autre, nous amorçons la descente vers le lac de Fully avec une excitation qui se fait sentir au moins jusqu’à Sion!
15 :30 ; Les cales sont placées, les têtes sont baissées, les jambes sont fatiguées mais l’humeur reste à son apogée pour la remontée. La dernière de la journée. Le groupe, une fois arrivé, prends ses quartiers, se laisse reposer et se prépare pour le souper.
19 :00 ; Tout le monde est rassasié après de nombreuses recaves gentiment proposées par nos hôtes. La peau du ventre bien tendue, nous nous laissons aller à quelques parties de « the game » dont les gaps n’ont désormais plus de secrets. Après quelques bières, le passage obligé par le lieu d’aisance ne laisse personne indifférent. Parce qu’il fait froid, oui, mais surtout parce que la vallée qui s’étale sous nos pieds nous fait presque oublier la fonction première du local (bien que l’odeur soit là pour nous le rappeler).
21 :30 ; Boule quies bien enfoncés, sacs à viandes bien enroulés, nous voilà partis pour une nuit bien reposante.
06 :30 ; Trois réveils sonnent, les paupières sont encore gonflées, le réveil se fait doucement. Il ne faut cependant pas plus de quelques minutes pour que les blagues repartent de plus belle. Tout le monde est bel et bien réveillé. La lumière quant à elle, prends le temps de se dévoiler progressivement sous nos yeux émerveillés face au paysage. Ce dernier s’équilibre de minutes en minutes, enrobé d’une lumière qui prend le temps d’atteindre une cime après l’autre.
08 :10 ; Les couteaux sont posés, pendant que notre couteau à nous revient déjà de son repérage. Le verdict tombe: Pas besoin de crampons. Après deux conversions, c’est sous un vent tranchant que les skis sont placés sur les sacs à dos pour le portage de quelques pas. Peu après, le soleil perce, la chaleur l’accompagne; on enlève une couche pour repartir de plus belle. L’horizon change, de nouvelles cimes se dessinent, l’objectif est en ligne de mire. Les lignes de fuites défilent sous nos yeux. Grande Vire, Grand Cor, Grande motivation. Les collants pipettes n’ont qu’à bien se tenir!
Vers 10 :00 ; La vallée du Rhône est à nos pieds, la croix est touchée, le sommet est validé. Beau temps belle neige! La redescente s’amorce sans trop tarder pour enchaîner sur la suite du programme, et quel programme! Le vent étant resté au sommet, nous voilà à l’abri. Avec moins de temps qu’il en faut pour le dire, nous voilà face à la tête noire, certes, mais surtout face à 12 options (au moins :) ). La décision est prise, on rempeaute et en avant direction les derniers remparts skiables de la crête menant à la tête Séri. Magnifique descente vers Euloi avec émoi. Les no go zones sont esquivées, les estomacs sont creusés, les options refont surface. Après quelques morses, les décisions sont plus faciles à prendre, pas de grand château pour cette fois. Une dernière petite montée plus tard nous voilà au sommet des remontées mécaniques pour attaquer notre dernière descente le long des pistes d’Ovronnaz. Nous n’allions tout de même pas échapper à une dernière option, entre la rouge ou la noire c’est la rouge qui l’emporte.
14 :00 ; Les skis sont posés, les culs aussi, la bière est servie, les sourires sont à l’équerre, les cœurs sont embaumés, les peaumettes sont rougies, plus pour l’un que pour d’autres, peut-être que les tubes de crèmes n’avaient finalement pas été tous sortis aux 09 :34 de la veille.








Me 26 fév. 2025
Randonnée raquettes à Pra Cornet
Ce mercredi matin, bravant les averses de la plaine, nous sommes 9 mercredistes au départ de Vevey et Blonay, qui rejoignons rapidement Ginette l’organisatrice de la journée, au Tea-Room des Mosses.
Après le traditionnel café-croissant, nous nous rendons au parking de l’Arsat, chaussons nos raquettes, et nous mettons en route pour Pra Cornet, sous la neige qui tombe légèrement. Le chemin est fraîchement enneigé (20 cm depuis mardi soir...).
C’est magnifique, calme, hivernal...et 1 heure 30 plus tard, nous atteignons la buvette:
Soupe-fromage, quiche lardons-fromage, tarte aux pommes, les boissons d’usage...tout est très bon et unanimement apprécié, tout comme l’accueil chaleureux du patron des lieux.
Il nous faut ensuite 50 minutes pour redescendre au parking. Le ciel s’est éclairci et après avoir déchaussé les raquettes, nous terminons notre sortie autour d’une boisson à la buvette de l’Arsat. Nous profitons une dernière fois de ce sympathique endroit qui fermera définitivement en fin de saison d’hiver...dommage!
Quelle agréable journée dans la convivialité et la bonne humeur! Merci Ginette d’avoir convoqué la neige fraîche et le soleil ☀️
Anne








Di 23 fév. 2025
Fava
En cette douce saison 24-25, les sorties nous mènent rarement au premier objectif prévu 😅 La Fava sera pour une autre fois !…
Ce dimanche matin, il faut y croire car il pleut sur la Riviera !! Mais comme nous a répété Floriane la valaisanne du groupe: “S’il pleut à Vevey, venez en Valais !!” Et effectivement, on y a trouvé même quelques rayons de soleil !☀️
Merci à Nicolas de nous avoir fait découvrir le col des Ecandies avec 1ère montée en télésiège😉 puis jolie descente sur le val d’Arpette pour ensuite “attaquer” la montée jusqu'au col dans un magnifique décor… conditions agréables, même si la neige était assez lourde en redescendant… les cuisses ont chauffé !
Une belle journée et une chouette petite équipe 😊
Dominique








Sa 22 fév. 2025
Tête de Lantsenaire
Nous avions prévu le Lantsenaire et faute de neige nous nous sommes retrouvés à la Cape au Moine ! C’était une belle découverte car aucun.e d’entre nous ne l’avait jamais faite !
Départ d’Étivaz nous sommes montés sans soleil mais en ayant beaucoup trop chaud au sommet à cause des températures élevées. L’un des nôtres a fait une échappée pour suivre des collants pipettes mais nous a finalement rejoints (on ne saura jamais si c’était que nous étions nous plus marrants ou eux trop rapides ;).
Nous avons crapahuté jusqu’en haut de la Cape au Moine pour une jolie vue sur les sommets alentours tristement pas très enneigés et avons fait un petit rappel à la descente pour nous mettre en jambes pour la suite. La neige étant cartonnée nous n’avons pas savouré nos virages jusqu’à la moitié de la descente ou la neige de printemps nous a ravi. La moitié du groupe a décidé de faire une course d’orientation dans la forêt et l’autre moitié a mérité une bonne pause en les attendant au soleil. Après un dernier bout en skating qui en a achevé plusieurs, la récompense a été de prendre un verre à l’hôtel du Chamois avant de tous terminer à la fromagerie du coin pour acheter de l’Etivaz. ;)
Merci à Philippe pour la sortie c’était super !








Sa 22 fév. 2025
Vallée de Conches
Deux jours de rêve dans la vallée de Conches en très bonne compagnie.
Réveil très matinal le samedi matin pour prendre le train, ce qui nous a permis de débuter la première montée au départ de Geschinen vers 9h30 en direction du Teltschehorn (2744m). La neige à la montée était prometteuse, mais le foehn ayant fait ses ravages, la descente fut plus technique que prévu. Nous nous réhydratons à Ulrichen en attendant notre train puis nous nous diregeons à notre hôtel. Excellent souper au bistro du village de Gluringen.
Lendemain réveil matinal avec un solide déjeuner pour découvrir les pentes orientées Sud qui nous semblaient très alléchantes. Nous prenons le train jusqu'à Münster et montons au Gross Chastelhorn (2841m). Nous parvenons à la cime par l’arête Nord-Est équipés de nos crampons. Petit pique-nique au soleil avant d’entamer la descente. Nos petites observations de terrain nous ont permis d'alterner judicieusement les passages de moquette et de poudreuse jusqu'au café de La Poste. Fin du week-end avec 3 heures de train, ce qui nous a laissé le temps de rédiger ce récit.
Merci à Mireille et Marc pour l’organisation de ce week-end.
Participants: Dimitri, Florian, Holger, Kevin, Lauranne, Lourenço, Thomas








Me 19 fév. 2025
Mont-Chevreuil
Voilà….nous les 9 mercredistes du jour partons de la Lécherette pour les Monts Chevreuils avec une météo clémente qui sent déjà venir les prémices du printemps.
Nos raquettes resteront dans les voitures, la neige encore dure et bien tassée nous permet de nous engager bâtons en mains. La montée est agréable pour arriver au sommet des Monts Chevreuils avec une vue superbe sur les monagnes environnantes.
Ce n’est pas toujours une mince affaire de les reconnaître, sauf les plus connus comme La Gumfluh, le Pic Chaussy, les Rochers de Naye et Château-d’Oex au fond de la vallée, où il ne reste plus une brique de neige!
Une petite descente dans de la belle neige nous amène après 1h45 à la cabane où une grande table sur la terrasse au soleil nous accueille pour notre repas bien mérité. Une fondue pour les uns, un potage aux légumes pour les autres.
Après une longue pause bien sympathique, nous redescendons de l’autre côté qui est plus sauvage, avec de grandes étendues de neige encore vierge et poudreuse, où nous apercevons de nombreuses traçes d’animaux.
Un peu plus bas, nous rejoignons le chemin emprunté lors de la montée qui nous ramène à notre point de départ, où nous nous quittons jusqu’à notre porchaine randonnée!
Merci à chacun pour cette magnifique journée.
Martine.








Ma 18 fév. 2025
Sortie du mardi
Merci Carmen, ta proposition fut un véritable succès !
Grâce à la bienveillance du paysan de En l’Auge, un parking au-delà de la route autorisée nous a permis de rejoindre Pâquier Mottier rapidement.
Il fait frais le long de la Torneresse. Les sapins encore couverts de neige donnent une note hivernale à ce paysage magique. Puis vient une jolie montée, un peu rock&roll dans la forêt et nous voilà sortis sur un bel alpage au soleil. On attend un petit replat pour faire une première pause et profiter d’ôter quelques couches.
La trace est belle et nous amène sans dificultés au Pas de Sazième. On s’élève ensuite jusqu’au lac de La Gour. La trace est un peu raide et je décide d’en sortir pour aborder une montée plus douce. Pas longtemps, car Jacques se propose généreusement leader pour me faciliter la tâche ;-)
Puis vient la montée au col. Une coulée est descendue sur sur l’adret. Nous passons dans son sillon pour quelques virages avant de joindre la pente et ses conversionssur l’ubac. De là nous mettons des distances entre nous.
Toto et Jacques ont pris la tête et bientôt notre groupe s’étire.
Pour ma part, le col fut une délivrance. Etourdie, jambes et bras flageolant (avant-signes d’état grippal ?), je décide de m’arrêter à cet endroit, accompagneé de mon ange-gardienne Fabienne. Les derniers poursuivent leur ascension jusqu’au sommet pendant que nous pique-niquons toutes deux tranquillement en les attendant. Il faut vite reprendre des forces car la descente s’annonce belle et longue.
En effet, du début à la fin, nous jouissons d’une magnifique neige poudreuse presque vierge (voir photo du peigne ;-))
Grâce à la perspicacité de Carmen, elle sait bien lire les cartes… et elle connait de l’avant-veille, nous trouvons le chemin que traverse cette forêt du bas apparemment infranchissable, et la descente est parfaite jusqu’au bout.
Il nous faudra encore quelques pas de patineurs jusqu’à Pâquier Mottier, puis nous voilè à nouveau sur le joli chemin ludique qui nous amène aux voitures skis aux pieds.
Le café de l’Etivaz est fermé… mais nous profitons d’une petite halte à la fromagerie pour acheter quelques bons produits locaux avant de terminer autour d’une table du tea-room des Mosses.
Merci l’équipe, vous avez été super as usual !!!
Christiane








Di 16 fév. 2025
Tour de Famelon 2138m
En nous levant ce dimanche matin, nous avions deux raisons de nous réjouir : le soleil s’annonçait radieux et nous avions une jolie course en transports publics prévue, ce qui nous éviterait les bouchons du dimanche soir !
Alors que l’objectif initial était la Tour de Famelon, les pentes vertes du Sépey ont contraint notre chef de course Vivien à nous concocter une alternative enneigée de dernière minute : ce sera La Palette (2171m.) depuis le Col du Pillon.
Dès le départ, le soleil perce dernière le massif des Diablerets et nous irradie de ses feux. Après une pause à mi-parcours, nous atteignons le sommet de La Palette. La descente s’effectue par une pente déjà bien tracée mais avec une merveilleuse neige poudreuse qui siffle sous nos skis. Nous profitons d’y dessiner quelques beaux virages.
Nous pique-niquons près d’un chalet en contrebas de La Palette. La vue y est superbe. Néanmoins, le chef de course a oublié le cake et le café, alors pour se racheter il tente de nous proposer de la moutarde. Nous préférons les délicieux chocolats de Dominique. Allez savoir pourquoi...
Ensuite, nous continuons à skier en direction du lac d’Arnon, puis arrivés au fond nous remettons les peaux pour gravir un joli sommet (2058m.) à l’Est de la Palette. Le soleil brille, la neige colle un peu, mais quel paysage grandiose avec cette immense étendue blanche !
Arrivés au sommet, nous partageons des félicitations et nous préparons pour la grande descente jusqu’au Col du Pillon via le Col de Voré. Cette fois, c’est une autre histoire : la neige est lourde et parfois les pierres apparentes mais qu’importe, le plaisir est toujours au rendez-vous !
Une fois au Col du Pillon, il nous reste une bonne demi-heure avant de reprendre le bus. Nous en profitons pour boire un petit verre bien mérité et remercier Vivien qui a su nous concocter une course en transports publics durant laquelle nous avons profité de la bonne neige, de beaux paysages et de jolis moments conviviaux. Merci Vivien !
En nous levant ce dimanche matin, les auteurs de ces lignes avaient en fait une troisième raison de se réjouir : c’était leur toute première course avec le CAS ! Nous avons été gâtés par une merveilleuse journée et nous réjouissons beaucoup des courses à venir.
Belle suite d’hiver à toutes et tous !
Floriane et Ambroise








Di 16 fév. 2025
Gstellihore par sa variante "Alpinifreeride"
Traversée alpine diabolique
En ce dimanche ensoleillé, notre groupe de huit aventuriers s'élance depuis le col du Pillon
pour une journée mémorable en montagne. Après un trajet bien serré dans les télécabines,
nous atteignons le Scex Rouge. Après un briefing de Jonas, nous nous lançons dans la
première descente sur le glacier de Zanfleuron en direction du col du Sanetsch dans un décor
sauvage !
Les peaux de phoque sont mises: l'ascension vers le Gstellihore commence ! Sous un soleil
éclatant, nous progressons le long des imposantes falaises des Mountons jusqu'au départ de la
via ferrata du Sanetsch. Skis sur le sac, baudrier et longe en place, nous grimpons les échelles
avec enthousiasme, une section ludique qui ajoute une belle diversité à notre parcours. Une
dernière montée à peau nous mène au sommet du Gstellihore, où nous savourons un pique-
nique sous un soleil radieux, dans une ambiance conviviale. Une touche sucrée avec un
morceau de chocolat Ovomaltine, et nous voilà prêts pour la grande descente vers Gsteig !
La neige est légère, les sensations sont au rendez-vous ! Jonas nous déniche un itinéraire
astucieux pour éviter une section de portage, nous offrant ainsi une descente ponctuée de
belles pentes raides à skier. Quelques passages serrés entre les arbustes donnent lieu à
quelques chutes sans gravité !
Nous atteignons le charmant village de Gsteig juste à temps pour prendre le bus en direction
du col du Pillon. Pour conclure cette magnifique journée, nous savourons une bière bien
fraîche, installés sur des transats, en profitant des derniers rayons du soleil et des donuts
offerts par la serveuse !
Un récit de Justine Morgenthaler
Deborah, Emilien, Carolina, Albane, David, et Justine.
Chef de course : Stéphane & Jonas








Sa 15 fév. 2025
Wittenberghorn en boucle
Samedi matin, 7h30, nous avons rendez-vous à Aigle pour le covoiturage en direction de Fautersoey. Nous sommes 11 participants à nous répartir dans les voitures.
Après 1h30 de route, nous voilà prêts au départ par une température de -12. Nous suivons le fond du vallon, le long de la rivière. La nature est magnifique avec les arbres recouverts de neige. Nous profitons des premiers rayons du soleil pour faire une petite pause et discuter du but de la journée. Samuel nous fait un petit topo des conditions, du danger et de l’itinéraire. On se rend compte que le Wittenberghorn se trouve, ce jour-là, moin intéressant que son plan B ! Nous décidons ensemble de nous diriger à la Tête de clé.
Nous commençons l’ascension sur une trace qui serpente entre clairières et jeunes sapins. Le soleil commence à réchauffer un peu trop l’atmosphère. Au fur et à mesure de la progression, nous devons retirer nos couches d’habits et la neige colle de plus en plus aux peaux. Nous arrivons au sommet vers 12h pour le dîner. La neige est un peu lourde pour la descente mais reste quand même tout à fait skiable jusqu’au lac Arnesee.
Nous remettons les peaux pour remonter encore 500m sur le Walighürli afin de bénéficier de belles pentes nord avant de rejoindre les voitures. Les 100 derniers mètres de l’ascension deviennent difficiles pour tout le monde. A cause des sabots sous les skis, nous avançons péniblement. Cette difficulté a vite été oubliée pour laisser place à de la très bonne neige attendue pour la descente.
La course s’est terminée autour d’un bon verre et d’une tranche de gâteau délicieuse à Feutersoey.








Sa 15 fév. 2025
Perfectionnement cascade de glace 2 jours (FC + PM
Le cours de perfectionnement cascade de glace, proposé par le guide Jérôme Henchoz, a eu lieu cette année entre Bourg-Saint-Pierre et Fionnay.
Après une première journée de mise en jambe, focalisée sur l’amélioration de la technique d’escalade, la 2ème journée a amené les participants dans la spectaculaire cascade de Bonatschiesse. Ambiance face nord au rendez-vous !
Une aventure qu’aucun d’entre nous n’est prêt d’oublier, et qui a permis de se familiariser avec les problèmes spécifiques des courses en cascade, particulièrement sur l’aspect sécurité, beaucoup plus sensible que dans des longues voies.
Un grand merci à Jérôme, qui nous a fait bénéficier de sa grande expérience en cascade, mais également pour son coaching efficace !






Ve 14 fév. 2025
Randonnée à ski au clair de lune
Envie d’une expérience unique en montagne ? Viens tenter une randonnée nocturne sous la pleine lune ! L’ambiance est magique : la lune éclaire notre chemin, et le silence de la nuit ajoute une touche spéciale à l’aventure.
Et avec Louis, impossible de s’ennuyer ! Toujours prêt à partager ses connaissances sur la montagne, il rend cette expérience authentique et conviviale. À la clé, une ascension dans la détente, avec, au sommet, une bonne fondue et une vue incroyable sur le Léman et ses lumières qui scintillent dans l’eau.
Un moment hors du temps, à vivre absolument !




Me 12 fév. 2025
Journée Culturelle à Berne
“Une excursion pas comme les autres”, en ce mercredi 12 février, avec une visite guidée du Palais Fédéral.
Alors “nous c’est aller à Berne “ en train et à 22 participants…….train qui nous coûtera 15.- avec un billet collectif...d’écoliers!!!!!…..
Après un contrôle d’identité et de nos effets personnels, digne de ce nom, nous voilà dans l’impressionnant hall d’entrée avec sa sculpture des 3 Confédérés et le serment du Gutli, ainsi que son dôme en verre avec les armoiries des cantons.
Ensuite, on prend place dans l’un des 42 fauteuils de la salle de Etats, admirant le lustre en fer orgé de 1902 et la fresque de la Landsgemeinde.
Etape suivante, la salle du Conseil National aux 200 sièges distribués selon la population des cantons et répartis par parti politique. Derrière la peinture murale de Charles Giron se cache une jolie histoire et une véritable poisson d’avril….
Et pour clôturer cette visite, un passage à travers la salle des Pas Perdus, longue de 44m. et utilisée pour des réceptions des Etats du Conseil Fédéral et du Nouvel An. On admire les peintures du plafond qui représentent les principales branches des activités pour lesquelles notre pays était connu en 1902.
Pour clore cette matinée, nous mangeons au bord de l’Aar dans une ambiance chaleureuse et conviviale.
Ensuite, tout ce petit monde s’éparpille dans Berne avant de reprendre le train en fin de journée.
Un très grand merci à Ariane et Jo pour la mise sur pied et l’organisation de cette journée “pas comme les autres”.
Bettina








Di 9 fév. 2025
Le Grammont 2171 - Face Est depuis le Flon
Notre objectif initial était le Grammont et sa séduisant face est, mais l’enneigement en a décidé autrement. Heureusement, nos chefs de course David et Simon nous ont repéré un plan B en or : une jolie ribambelle de sommets entre le Col du Pillon et le Walighürli, où le congélateur du lac d’Arnon a conservé intacte la poudreuse du début du mois.
Ce changement de destination nous vaut cependant plusieurs désistements pour des raisons diverses et variées, comme la crainte des grands méchants embouteillages du dimanche soir… Mais c’était sans compter sur les capacités d’organisation hors pair de David et Simon, car nous finirons la course à temps pour redescendre du Pillon avant les skieurs. Dommage pour les démissionnaires, Walter et moi aurons le luxe d’avoir nos deux chefs de course pour nous tous seuls.
Nous démarrons du Col du Pillon vers 8h et gagnons le Col de Voré en même temps que le soleil. Déjà, les réjouissances commencent avec une magnifique descente sur le lac d’Arnon dans une poudreuse d’une légèreté inespérée. A l’alpage de Seeberg où nous repeautons, le soleil aussi est au rendez-vous. Journée extra bleu ciel et neige de cinéma au programme !
Nous n’étions pas forcément partis pour enchaîner tous les sommets sans exception jusqu’au Walighürli, mais cette poudreuse irrésistible nous les fait finalement enfiler comme les perles d’un collier. Parfois, nous optons pour de petites variantes, laissant de côté le sommet encombré de vernes pour lui préférer une bosse avoisinante encore libre de traces. David a le don de nous dénicher de petites combes dérobées à la poudreuse immaculée.
Après de jolies montées-descentes et joyeux bavardages, nous atteignons le Blattistand pour un pique-nique bien mérité, en compagnie de sympathiques bernois. Jusque-là nous étions seuls au monde dans ce petit paradis blanc. Mes compagnons de course ont la galanterie de me laisser le joli petit transat de pierre astucieusement disposé face au soleil et au panoramique massif des Diablerets pour accueillir un postérieur de pique-niqueur.
Hésitant à nous orienter sur Gsteig ou Feutersoey par la suite, nous tentons une descente dans la face sud-est du Blattistand, histoire de tester la qualité de la neige à cette exposition. Bonne, mais pas parfaite… Nous regagnons donc la crête sud-est du Walighürli pour rejoindre son sommet et skier son versant nord. Une quantité d’héliskieurs sont passés par là avant nous, mais en tirant sur la droite, nous parvenons encore à faire de belles traces dans la neige vierge à la limite de la forêt. Le terrain de jeu est presque infini, seulement délimité par la zone de tranquillité du versant est.
Nous arrivons finalement, skis aux pieds, à l’arrêt de bus de Feutersoey vers 14h, ce qui nous laisse une demi-heure avant l’arrivée du car postal pour prendre un verre sur la terrasse ensoleillée du café du village. Seule ombre au tableau, l’appui de fenêtre qui nous empêche de relâcher nos têtes contre le mur du chalet gorgé de soleil. Mais l’intrigant sac de sport d’un énigmatique homme d’affaires italien en pleine négociation téléphonique à côté de nous a vite fait de détourner notre attention de cet inconfort momentané. Nous serons finalement de retour au Pillon vers 15h, pleins de gratitude pour nos chefs de course du jour et les yeux encore remplis de paillettes de poudreuse.
Hélène








Me 5 fév. 2025
Niremont
13 mercredistes se retrouvent au départ du circuit pour raquettes aux Ecovets. Après une jolie montée dans la forêt avec des passages encore très hivernaux et d’autres presques printaniers,
nous arrivons au chalet de la Truche ou nous pique-niquons sur la terrasse qui est à disposition des randonneurs.
Ensuite nous entamons la descente dans les paturages. De retour aux voitures, Monique nous invite tous à aller sur la terrasse de leur chalet familial à l’Alpe des Chaux pour bien terminer cette belle journée.
Là nous passons un très agréable moment au soleil avec un beau choix de boissons et biscuit qui nous sont gracieusement offerts.
Jo-






Ma 4 fév. 2025
Randonnée à ski du mardi
Comme un mardi ! avec Toto notre héro






Di 2 fév. 2025
Bonhomme du Tsapi
Ce dimanche, nous devions initialement nous diriger vers le Bonhomme du Tsapi. Mais, après un repérage minutieux la veille, notre chef de course, David Messerli, a décidé de changer de cap pour nous offrir des conditions optimales : direction la Pointe des Semeleys, au-dessus des Mosses.
Échauffement imprévu et première péripétie
Le rendez-vous était donné au parking Pinocchio à St-Légier à 7h25. De mon côté, ma mission matinale était claire : récupérer David P. à la gare de Vevey. Rien de bien sorcier... en théorie. Sauf qu’en sortant de la voiture pour l’accueillir, je referme la portière, avec les clés et mon téléphone à l’intérieur. Voilà comment, avant même d’avoir chaussé les skis, je me retrouve à faire un sprint improvisé jusqu’à chez moi pour récupérer le double des clés. Un bon échauffement, certes, mais pas tout à fait prévu au programme.
Avec cinq minutes de retard – un exploit, compte tenu des circonstances – nous rejoignons le groupe et partons à trois voitures en direction d’Aigle, où nous récupérons les trois derniers membres de l’expédition.
Quand la malchance s’acharne...
Une fois arrivés aux Mosses, le groupe est fin prêt, l’excitation monte... et moi, je réalise que mes bâtons sont restés dans la voiture d’Émilien. Pas de panique, me dis-je naïvement, il suffit d’ouvrir la voiture et de les récupérer. Mais ce serait trop simple : la télécommande ne répond pas et, cerise sur le gâteau, la serrure est hors service. Non seulement mes bâtons sont inaccessibles, mais la voiture elle-même devient une forteresse imprenable.
Émilien, avec un calme remarquable, appelle le garage, qui lui annonce une arrivée sous une heure. De mon côté, je file louer une paire de bâtons. Pendant ce temps, le reste du groupe démarre la montée pour éviter de prendre froid. Finalement, je parviens à rattraper le groupe avec le chef de course au Lac de Lioson, tandis qu’Émilien se promet de nous rejoindre une fois la voiture ouverte.
Face à nous, la Pointe des Semeleys s’élève fièrement, ses pentes promettant une belle montée et, surtout, une descente de rêve. La neige semble qualitative et la trace bien visible. Nous nous lançons dans l’ascension, enchaînant conversions après conversions, savourant l’effort et le paysage.
Arrivés au sommet, deux groupes se forment : certains poursuivent un peu plus haut sur la crête, tandis que d’autres s’arrêtent au col pour profiter du panorama. Nous avons tous une pensée pour le pauvre monsieur qui, au cours de la montée, a sûrement dû se faire le genou et qui redescendra avec moins d’entrain. Heureusement, au sommet, l’ambiance est festive : un skieur d’un autre groupe fête ses 43 ans et célèbre l’instant avec une magnifique forêt noire.
Puis vient le moment tant attendu : la descente. Et quelle descente ! Une neige étonamment agréable, des virages fluides, et des sourires qui en disent long. Un pur régal.
Épilogue et verre bien mérité
Pendant ce temps, Émilien a dû patienter pour l’intervention du garagiste, qui a pu dépanner la voiture, mais a tout de même pu entamer une partie de la montée, jusqu’à ce qu’il réalise s’être trompé d’itinéraire.
Finalement, nous nous retrouvons tous pour un verre bien mérité au tea-room. Décidemment avec tous ces soucis de voitures bloquées, cette journée aurait pu tourner à la comédie. Mais avec du beau temps, de la bonne neige et une ambiance au top, elle restera avant tout une superbe aventure en montagne !
Vivement la prochaine, avec – espérons-le – un peu moins de surprises logistiques !





Sa 1 fév. 2025
Weekend dans les Grisons
Refuge des dents du midi
En remplacement d’un weekend dans les Grisons, on prend le train direction les Marecottes. On est une équipe de 5 bien motivés afin de profiter d’une belle neige et d’un soleil de printemps.
Arrivés en haut des installations, la montée vers la Golette ressemble déjà à une autoroute…l’avantage c’est que nous bénéficierons de la trace des autres pour atteindre le col.
Nous avons pris certainement le contre pied de l’effet de groupe en redescendant vers le lac de Salanfe car on n’a plus croisé personne de la journée!
La descente vers le lac fut un pur régal de poudreuse…on a hésité à remonter au col d’Emmaney pour en refaire une mais les pentes sud en face de nous étaient trop alléchantes! Nous prîmes donc la direction du refuge des dents du midi! superbe choix, malgré la chaleur à la montée, avec un panorama à couper le souffle sur les 4000 du Valais et le Mont Blanc dans oublier nos belles dents du midi côté pile!
Depuis la cabane à nouveau une belle descente dans une neige légèrement revenue puis direction le barrage où l’on devra à nouveau repeauter pour un denier petit bout! Un derrière descente ludique sur le chemin menant à Van d’en haut/bas pour finir cette belle journée avec une super équipe! Une 20aine de kilomètres pour 1400D+





Sa 1 fév. 2025
we ski rando à La Planiaz

Me 29 jan. 2025
Champoussin
Météo idéale, neige poudreuse abondante, il n’en faut pas plus pour ravir 15 mecredistes ayant besoin de bouger!
A l’ombre sur le parking gelé, nous sommes un peu inquiets de penser que le sentier part d’ici….
Mais complètement rassurés dès que nous empruntons le sentier, où nous découvrons une abondante neige poudreuse, un décor féérique, qui nous accompagnera tout au long de la randonnée.
Nous sommes tous émerveillés, car c’est notre permière rando de l’année avec de telles conditions.
Le pic-nic se fera au soleil au couvert de la Frâchette, avant de poursuivre le circuit qui nous amènera à Champoussin, à la Ferme de Gaby, où un accueil très sympatique et amical nous est réservé,….ainsi que de succulentes tartes pour les gourmand(es)
Une dernière descente à travers prés et nous voici prêts à retrouver nos voitures.
Félicitations à Raymonde et Monique, nous huitantenaires du jour et un grand merci à Marianne qui nous a régalés!
Sylviane.
Sylviane.






Di 26 jan. 2025
Sortie rando Ski - Fondue (débutant bienvenu(e))
Modification du programme initial qui prévoyait une découverte des Paccots vers Teysachaux avec le repas du midi à la buvette du Vuipay, mais en gardant l’objectif principal en tête : manger une fondue !
Donc direction Ovronnaz, avec une joyeuse équipe - David, Gianluca, Olga, Anna, Hugo, Lef et moi - qui se retrouve au bas des installations et qui démarre à 10h dans une ambiance enjouée ponctuée de blagues douteuses raffinées.
Après un départ en télésiège, les peaux sont mises un peu plus haut pour monter à la cabane de Fenestral où nous avons eu un super accueil, une fondue délicieuse, un pain à tomber et du fendant pour arroser le tout.
Ensuite, décision est prise de faire le portage au-dessus de la cabane pour aller trouver une belle pente pour la descente. Mais le fort vent a vite changé nos plans. Après avoir rangé les peaux et préparé les skis dans des conditions épiques, nous descendons dans une neige finalement plutôt agréable, jusqu’au télésiège censé nous ramener au domaine. Le vent l’ayant fait fermer, nous continuons de descendre par le chemin de forêt jusqu’à la piste puis jusqu’au départ du télésiège.
Une superbe sortie dans une ambiance au top, organisée par notre super chef de course, David. Merci à lui !
Tina








Sa 25 jan. 2025
Pointe de Bellevue
Une super sortie mais qui a du être décalée de la Pointe de Bellevue à la Palette pour des raisons d’enneigement pas fameux du côté de Morgins. On est partis du Col du Pillon direction Isenau, avant d’entamer l’ascension du sommet où on s’est retrouvés tout seuls 🤩 Après la descente et une pause pic-nic, on est remontés vers le col de Voré avant de redescendre dans une neige pas toute facile vers le col du Pillon via les sentiers raquettes.
Merci à Annick pour toute l’organisation et d’avoir réussis à planifier une magnifique sortie malgré des conditions pas toutes simples.








Sa 25 jan. 2025
Le Chantonnet 2'576 m
Bonne équipe motivée mais le temps et surtout le vent fût plus fort que nous !






Sa 25 jan. 2025
Mont Rogneux alt. 3083
Une très belle journée pour un petit groupe de trois skieurs experts comme Simon, David et Hugo, plus un débutant très motivé (Gianluca naturellement).
La montée au col a été plus rapide que prévu grâce à un temps ensoleillé incroyable et à l'absence de passages raides, très adapté à tout le monde.
Au col, les 3/4 du groupe ont décidé de commencer la descente au lieu de monter le Mont Rogneaux. Décision très judicieuse car la descente depuis le sommet était un peu trop raide et pas adaptée au débutant.
La descente a été particulièrement longue, constellée de nombreuses chutes à cause de l'inexpérience dans la poudreuse. Beaucoup de patience de la part des chefs de courses, ce dont je suis vraiment reconnaissant. C'était très difficile (pour moi) mais j'ai beaucoup appris, une excellente compagnie et une excellente organisation.
Gianluca







Je 23 jan. 2025
De Saint-Sulpice à Echichens par la Morges
.




Me 22 jan. 2025
Vuipay à raquettes
Après avoir fait la reconnaissance du chemin de la montée àVuipay, dont la moitié de la descente s’est passée sur un chemin dépourvu de neige nous pensions trouver de meilleures conditions de neige au Molard.
C’était le cas, bien qu’il faille porter les raquettes au départ pendant 45 minutes.
Ce Mercredi arrivé, nous sommes alertés au saut du lit par Myriam nous prévenant qu’il pleut à St-Légier et qu’elle ne viendra pas.
Consultant la météo-suisse, il y est indiqué pour la région Les Avants :jusqu’à 15.00 h chutes intermittentes de pluie et de neige mêlée.
Dans ces conditions, ne voulant se faire mouiller dès le début jusqu’à 15.00 h nous avons renoncé à la sortie, le cœur gros. Etaient également déçus les autres inscrits : Ottar, Anne, Daniel, Claudine, Jo, Ghislaine, René.
Voici 2 photos des reconnaissances de Vuipay et Molard.
Erika et Léon


Ma 21 jan. 2025
Sortie du mardi
Col des Ecandies (alt. 1780 m)
Christiane, nous avait prévenu; Il fera froid!!!
Nous allons faire environ 1000m en dénivelé positif à l’ombre.. Val d’Arpette ; Col des Encandies .
Christiane donne le rythme d’un bon pas. Arrivée en haut du Col après 3 h , nous pic niquons avec un panorama magnifique .
La descente s’effectue avec un choix : à droite :la voie classique, ou à gauche, variante un peu plus engagée et sans trace … un petit groupe suit Christiane dans cette direction… grandiose et vue aérienne! C’est super, nous retrouvons notre âme d’enfant avec les virages courts . Tous ravis , nous slalomons dans la forêt derrière Christiane .
Nous nous retrouvons tous au salon de thé de Champex , le sourire aux lèvres. Mille Mercis Christiane , et Toto ,pour avoir institué les mardis !!!🙏
Pascale








Di 19 jan. 2025
Gantrisch
Mireille et Vincent, nos guides hors normes, ont accueilli neuf membres intrépides du club alpin dans le charmant village de Finhaut.
L’ambiance était déjà au top, malgré l’heure matinale où le soleil n’était même pas encore sorti de sous sa couette de nuages.
Avec nos skis de randonnée, nous avons fièrement entamé notre ascension.
Bon, 15 minutes plus tard, c’était déjà le moment de les déchausser pour une petite session de crapahutage sur terre.
Une excellente manière de réchauffer les mollets tout en se demandant pourquoi on avait choisi ce loisir.
Après quelques pauses stratégiques – et totalement méritées – il a fallu sortir les couteaux. Pas pour un pique-nique, mais pour s’attaquer à la montée avec un peu plus de mordant.
Et parce que l’aventure ne serait pas complète sans une touche de nouveauté, j’ai eu l’honneur (ou l’épreuve) de tester les crampons pour la première fois.
(Spoiler : les fixer correctement relève presque de l’art, mais après quelques essais laborieux et un tutoriel express, mission accomplie !)
La cerise sur le gâteau nous attendait 100 mètres plus haut, au col de Fenestral, avec une vue à couper le souffle.
C’était le genre de moment où on oublie la sueur, les crampons mal fixés et les montées sans fin. Enfin presque.
La descente nous a ensuite réservé un couloir étroit, sécurisé et prêt à nous offrir quelques virages mémorables.
Bon, la neige n’était pas exactement fabuleuse – disons qu’elle avait vu des jours meilleurs – mais qu’importe, on s’est régalés (et pas seulement de glissades).
Pour clore cette belle journée en beauté, direction la Fromathèque à Martigny. On a trinqué à notre aventure et à notre équipe du tonnerre.
Un immense merci à Mireille et Vincent, guides et compagnons d’exception, pour cette expérience inoubliable. Promis, la prochaine fois, on maîtrisera mieux les crampons…
Roman








Sa 18 jan. 2025
Initiation à la randonnée à skis (FC)
Super journée qui a débuté par un moment convivial autour d’un café. La première montée s’est faite dans une bonne ambiance tout en apprenant les techniques de conversion. Un rappel des règles du respect de la faune, l'utilisation de carte, le calcul de la pente et un entraînement d’orientation nous ont permis d’en apprendre davantage sur la randonnée à ski. La deuxième montée, plus raide, a donné du fil à retordre. L’esprit d’équipe, la solidarité et la persévérence des participants auront permis à tous d’arriver au sommet. Le sourire se lisait sur tous les visages et le soleil radieux n’a fait qu’embellir cette jolie journée.
Un grand merci à Vivien pour l’organisation, l’accompagnement et son partage d’expérience. Et merci aux participants pour leur bonne humeur.








Me 15 jan. 2025
Jaun Rohrbode
Jolie météo pour cette randonnée intituée *Jaunpass Trail* qui nous mêne à Grosse Bäder, sous le Bäderhore.
Nous sommes 19, dont 8 feront un supplément un peu plus sportif.
La vue est superbe sur les Gastlosen, la vallée des Ablänschen, le Hundsrück, Le Simmental, les Alpes Bernoises.
Et nous nous retrouverons tous au Fängli pour partager nos impressions et une délicieuse boisson.
Un grand merci à Ottar qui nous a fait découvrir un nouvel itinéraire!
Sylviane.





Ma 14 jan. 2025
Randonnée à ski du mardi
Le premier programme était d’aller à la Tête à Josué depuis l’Etivaz.
Nous commençons la journée à 8h20 au parking de Chailly à Montreux. Mais voilà, après discussions, changement de cap : direction le Val Ferret. La Tête à Josué, ce sera pour une autre fois. Place à l’improvisation !
Nous voilà en route pour poser les voitures à Le Clou, à La Fouly. Départ skis aux pieds et motivation dans les jambes. Objectif : Chantonnet, 2576 mètres d’altitude.
La montée ? Un peu moins de 1000 mètres de dénivelé en 3h30, avec des petites pauses. Entre le vent frisquet et le grand beau, la météo jouait à « tu veux chaud ou tu veux froid ? ». Arrivés au sommet, nous avons une belle vue sur les sommets environnants avec l’Italie en face. A l’abri du vent, on profite de pique-niquer.
La descente ? Une petite heure. De la poudreuse tassée, travaillée par le vent, elle s’avère par endroits technique. On suit les conseils avisés de Jacques pour les passages un peu exigeants.
Retour à La Fouly, on s’installe sur la terrasse du bistrot Le Glacier pour une fin de journée bien méritée : bière pour les uns, café ou thé pour les autres.
Merci à Carmen et Jacques pour cette belle sortie.
Récit : Lauranne








Di 12 jan. 2025
Préalpes vaudoises
La semaine qui précédait cette sortie a été caractérisée par un temps couvert et de nombreuses précipitations, avec une limite pluie-neige qui a été plusieurs jours en basse altitude. Celle-ci est remontée très haut, à 1500 m et plus, l’avant veille de la sortie, pour finalement redescendre. Cela a permis une nouvelle couche de neige fraîche bienvenue pour notre course, sur celle de fond consolidée par la pluie. La météo s’est améliorée pour dimanche avec un temps dégagé mais très froid avec un fort vent de bise. Nos chefs de course, Mireille, assistée de Robert, ont choisi de nous amener au col du Pillon, pour la traversée au-dessus de l’Arnensee jusqu’à Gsteig.
Le rendez-vous a été fixé au parking du Pinocchio à 7h15 et un peu plus tard à Aigle pour ceux qui arrivaient en train. Nous avons ainsi débuté la course vers 8h30. Notre groupe, dix participants en plus de nos 2 chefs de course, est parti en direction du col de Voré. En montant on observait la neige soufflée par le vent, et tomber et ruisseler en petites coulées dans la pente. Une forte bise nous a accueilli à l’arrivée au col. La descente sur Seeberg a été la première occasion de jouir d’une qualité de neige vraiment excellente. Genre «ça tourne tout seul !»ou «qu’est-ce que je skie bien..» :-). Nous avons ensuite remis les peaux pour remonter vers notre premier sommet, le Seeberghore, suivi d’une nouvelle magnifique descente. Puis remontée vers le 2e sommet, le Stuedelistand, et à nouveau une belle et longue descente dans une pente large et immaculée. Le panorama et la nature étaient très beaux avec la neige fraîche encore sur les sommets et les sapins. Nouvelle remontée jusqu’au Plattipass puis jusqu’à notre dernier sommet le Walighürli. Descente par la crête sud-est puis par les pâturages jusqu’à Gsteig. Un pot sympathique au Bären a été écourté par la nécessité de prendre le bus pour remonter au Pillon.
Ce fut une très belle sortie, l’ambiance était excellente de même que les conditions. Un grand merci à Mireille et Robert !
Participants : Ariane, Chantal, Dominique, Florian, Hélène, Joachim, Julien, Nicole et Olga.
Récit : Thomas.
Le retour fut assez long, environ 2 heures de route, en raison des bouchons de retour du Valais en fin de week-end.








Je 9 jan. 2025
Châtel - Rogivue - Maracon - Châtel-Saint-Denis
Course passablement arrosée.








Me 8 jan. 2025
Le Sentier de l'Avent du Crêt
Le temps de l’Avent est passé….mais le ravissant sentier que fait chaque année la Compagnie A Tire d’Ailes se visite encore jusqu’à fin janvier.
Et les mercredistes le savent….et se font un plaisir d’y aller.
C’est toujours une jolie balade, conviviale, pleine d’enseignements, qui permet beaucoup d’échanges et les retrouvailles après les Fêtes...d’où un pic-nic/apéro festif!!!!!
Les 24 postes se succèdent et sont tous plus originaux les uns que les autres. Une lettre à chaque poste permet de reconstituer une phrase….que Gérard a trouvé, à savoir….Noël temps de l’espoir et de paix…..
Une dernière pause à la Fromagerie de Semsales pour terminer les échanges et nous voilà sur le retour.
Sylviane.








Di 5 jan. 2025
Roc de Rianda, 1951m
A cause de la pluie prévue le dimanche et des mauvaises conditions d’avalanche, la sortie au Roc de Rianda a été déplacée au Folly/Mollard et avancée d’un jour.
Super météo le matin, puis les nuages se sont installés dans l’arpès-midi, donnant une belle ambiance avec de magnifiques coups d’oeils sur le Léman.
Une image vaut mille mots, alors les voici ci-dessous.
Merci Carmen et Christianne pour l’organisation








Lu 30 déc. 2024
Ski au Molard
La journée s'annonçait parfaite pour cette sortie. Nous étions une équipe de sept. Notre point de départ était le restaurant de la Cergniaulaz. En passant devant le chalet de la Planiaz, nous avions une belle vue sur le Rochers-de-Naye. Deux membres de notre groupe ont décidé de mettre les couteaux par précaution, assurant ainsi une montée plus sécurisée. Le reste de l'ascension jusqu'au sommet du Molard s'est déroulé sans encombre, et nous avons atteint le sommet avec facilité.
La descente vers le col de la Forclaz a été un peu plus compliquée à cause d’un léger manque de neige pour cacher les vernes. Deux participants ont choisi de rester sur un banc au soleil devant le chalet, profitant de la chaleur et de la vue. Pendant ce temps, le reste du groupe est monté en direction du Folly afin d’exercer les conversions.
Finalement, nous nous sommes tous retrouvés pour descendre ensemble dans le Vallon d'Orgevaux. La journée s'est terminée en beauté avec un verre bien mérité chez Compondu à Blonay. Le soleil brillait et il n'y avait pas un souffle de vent, rendant cette journée de ski de randonnée très agréable.






Di 29 déc. 2024
Sortie Ski Rando - Palanche de la Cretta
Des maisons pour Tina... ou le récit d’une journée splendide en altitude !
Dimanche 29 décembre, dix motivés partent en direction de la Palanche de la Cretta… David, notre chef de course, nous avait averti que les conditions ne seraient pas optimales, mais que la vue serait au rendez-vous… et pourtant… nous n’avons pas fait un mauvais virage et avons même trouvé de la belle poudre !
Il ne fallait pas partir trop tôt pour profiter du soleil. Partis skis aux pieds vers 9 h 30 (à cause des retardataires qui pensaient qu'il suffisait de 30 minutes pour faire la gare de Sion - le parking de la Coutaz), nous avons avancé tranquillement dans la montée. Il fait un peu frais au début, mais les couches s’enlèvent au fur et à mesure que l’on s’élève. Tina, qui nous avait avertis dès le début qu’elle n’était pas en forme, a rêvé à tous les mayens de pouvoir s’arrêter au chalet qui se trouvait sur son chemin… mais que nenni ! Nous l’avons encouragée, motivée et accompagnée, et elle était avec nous au sommet vers 13 heures, dans le timing prévu par notre chef de course, qui a été gratifié d’un chant d’anniversaire pour son arrivée au sommet ! En effet, David avait décidé de fêter ses 28 ans (selon le décompte de Paola – les initiés comprendront) en nous emmenant sur les sommets.
Après une belle pause pique-nique sans vent et au chaud sur les cailloux (le sommet a été ravagé par le vent), nous entamons une belle descente. En choisissant bien les expositions de pente, nous prenons de beaux virages, même si un changement de neige a valu une chute épique à notre chef.
La course s’est terminée par un verre au soleil à La Sage afin de fêter tous ces exploits. Encore un énorme merci à David pour cette course et à toutes et tous pour la bonne humeur et la bienveillance de la journée.
Mélanie Burnier







Sa 21 déc. 2024
Cours avalanche II (FC)
Le cours avalanche 2 de cette année a eu lieu à Bourg-Saint-Pierre, étalé sur deux jours, et organisé comme d’habitude par Jean-François Savary (guide), avec en refort les guides Nico Vuadens, Jérémie Gentizon et Serge Thélin. Ce cours est encore une fois plébiscité, avec environs 25 participants !
Des rappels théoriques ont été donné depuis le bivouac Napoléon le samedi, suivi d’exercice sur le terrain, en profitant des installations de ski à Vichère.
Dimanche la meteo s’est dégradée, mais nous nous sommes néanmoins rendu sur le terrain, dans des conditions de sécurité parfaitement acceptables.
Chapeau à nos guides, qui ont offert un encadrement impeccable, comme à leur habitude !



Ma 17 déc. 2024
Randonnée à ski du mardi
En ce matin de décembre à peine voilé, les troupes du mardi n’ont pas encore rappelé tous les réservistes : nous ne sommes que seize à répondre à l’ordre de marche de notre général en chef Toto, qui s’apprête à mener audacieusement notre cohorte à l’assaut des montagnes redoutées qui enserrent le col du Pillon. Sage décision, nous ne nous attaquerons pas aux falaises escarpées des Diablerets, déjà assaillies par les troupes japonaises et chinoises de la télécabine, mais prendrons subtilement par le revers en direction de la Floriette (ou de la Palette, « on verra bien »). Notre commandant, fin tacticien, divise son armada en deux escadrons, dans le but de prendre en tenaille l’ennemi : un groupe, sous la direction ferme de Jacques, attaquera par l’est en gravissant l’effrayant col du Voré, l’autre par l’ouest en longeant les eaux sombres du lac Retaud pour monter « tranquillement, on a le temps » par Isenau. La tactique est payante, puisque les deux unités se retrouvent en même temps au col des Anderets. Brève inquiétude toutefois : au point de jonction, il manque à l’appel Jacques, le commandant du groupe Grandjean, heureusement remplacé par son aide de camp Nicole. Mais où est-il passé ? Il est simplement parti en éclaireur pour vérifier la présence de l’ennemi et nous rejoint bientôt. En bon ordre, les deux unités repartent groupées à l’assaut du sommet -la Palette finalement- et s’y entassent, formant une barrière quasi inexpugnable.
Mais la guerre ne nous laisse pas longtemps en repos : il semble que nous devions rapidement changer de position et descendre en direction du lac d’Arnon. Nous franchissons bientôt sans coup férir la frontière (le Sonderbund avait pourtant déjà échauffé les esprits de ces contrées primitives) et profitons d’un replat bien dissimulé pour ravitailler, tandis que l’intrépide phalange de Nicole (mais qui gouverne chez eux ? Le prétendu commandant Jacques craque en voyant l’équipe cuisine et laisse son gouvernement mener l’opération. Il serait peut-être temps de redistribuer les cartes de la hiérarchie…), que l’intrépide phalange de Nicole, disais-je, sans même prendre le temps de se sustenter, pousse l’attaque jusqu’au lac Arnon, ou plutôt l’Arnensee, réservoir d’eau potable de l’ennemi teuton.
Folles d’inquiétude, les troupes repues remontent pourtant jusqu’au sommet sans nom (pt 2058), espérant voir poindre au loin la colonne Nicole, du moins quelques rescapés. La chance est avec nous : le bataillon entier se retrouve sain et sauf au col du Voré, pour un banquet final digne d’Obélix : sandwichs, chocolats, gâteau (de Nicole ! Kü-Chef et patronne de la section d’assaut : elle mérite décidément une promotion !) marquent l’achèvement de cette héroïque épopée.
Fin de l’épopée ? On a chanté trop vite ! Le commandant en chef Toto reprend les rênes et nous intime l’ordre de descendre une pente très exposée, un terrain miné qui laissera des stigmates ineffaçables sous les skis de nos valeureux soldats. Après une brève hésitation (à gauche ? à droite ? tout droit ?), notre chef résolu nous conduit d’une main de fer à bon port. Nous retrouvons les véhicules au Pillon pour un retour fatigué mais content aux casernes.
Ave Caesar Toto ! Vae victis !
La troupe: Toto, Jacques, Nicole, Dominique, Sylvie, Pascale, Carmen, Juliette, Thomas, Daniel, Jacques, André, Alexandre, Fabien, René et Vivien (récit)








Sa 14 déc. 2024
Noël au chalet de Jaman
Sous la neige, une petite équipe de la Commission du chalet de Jaman est montée pour le chauffer. Arrivée peu avant midi, température à l’intérieur du chalet 4 degrés. Au plus vite, nous avons fait le feu dans le four à bois et le poêle. Nous avons mangé, avec bonnet et doudounne, nos sandwiches sortis du sac accompagnés d’un bon thé chaud.
Les décorateurs se sont mis au travail afin de préparer le sapin, de mettre la table, de rendre le chalet accueillant tandis que la cuisinière et le cuisinier s’attelaient à éplucher les légumes, les couper, rôtir la viande, préparer du vin chaud et du thé de Noël pour les clubistes.
16h30 arrivèrent les premiers membres de Jaman, frigorifiés et bien enneigés. La chaleur du chalet était la bienvenue pour les réchauffer et faire sécher les habits. Puis gentiment les autres clubistes se manifestèrent, à la queue leu leu.
L’apéro, le repas et la soirée se poursuivirent dans une ambiance conviviale, chaleureuse. Cette année nous avons eu deux histoires de Noël, soit un extrait du discours de Monsieur Junker (président de la Section en 1935) lu par Pierre et le conte de l’étoile de Bethléem par Marie-Anne.
Merci à toutes et tous, pour cette jolie soirée conviviale et chaleureuse.








Je 12 déc. 2024
Les 3 Rivières
Nous étions 12 à nous joindre au chef de course Maurice Gachet pour une sortie « 3 rivières » en Gruyère, sa région natale. Ayant lancé un regard nostalgique en direction du Niremont (souvenirs, souvenirs) depuis le train et bénéficiaires d’un café-croissant offert par Maurice (pour qui le café est toujours indispensable), nous sommes partis sous un soleil éclatant depuis la gare de Gruyères pour longer la Sarine, atteindre la chapelle Notre-Dame des Marches (18ème siècle, source d’inspiration pour Joseph Bovet), profiter de l’apéro peu après et de prendre un magnifique plat du jour à L’Etoile d’Or, restaurant flambant neuf au centre sportif de Broc. Pour terminer une sortie modérée avec peu de dénivelé, nous avons longé la Trême et l’Albeuve pour rejoindre la gare de Gruyères et boucler notre escapade de 8.5 km environ.







Je 5 déc. 2024
Palézieux - Puidoux - Chexbres
17 marcheurs dont quatre dames. Près de 12 kilomètres au total. CdC Pierre-Alain Beffa.
18 convives pour dîner à l’Auberge communale de Puidoux-Village ; donc on peut rejoindre ses potes jeudistes seulement pour un bon repas : bonne idée !
Dès Palézieux-Gare, un bucolique itinéraire pédestre conduit à Palézieux-Village, en empruntant un premier pont sur la Broye. Café-croissant. Puis franchissement de la voie ferrée allant vers la vallée de la Broye, rivière que nous passons une seconde fois. Dans les parages immédiats se trouvait au Moyen Age une abbaye cistercienne, celle de Haut Crêt. Aucun vestige ! Puis promenade sur un chemin forestier rive droite du Grenet (ce gros ruisseau héberge des castors, qu’on n’a pas vus) jusqu’au lac de Bret, avant le ravitaillement apprécié à Puidoux-Village. Dans l’après-midi, continuation jusqu’à Chexbres.
A garder en souvenir : belle balade d’arrière-automne, pour jeudistes 1 et 2 ensemble. L’occasion de se rappeler de vieux souvenirs. L’un d’entre nous a escaladé le Tour Noir (depuis l’A Neuve) et participé à l’inauguration du bivouac du col de la Dent Blanche en 1976, année du centenaire de notre section Jaman. Qui est ce valeureux alpiniste ?
(Bernard Bovy, 1940, Ojien puis clubiste fidèle)





Ma 3 déc. 2024
Randonnée à ski du mardi
Et c’est parti, la saison 2024 – 2025 est lancée ! L’objectif de la première sortie de mise en jambe menée par Toto était tout d’abord Vichères-Bavon, mais vu les conditions d’enneigement défavorables, nous décidons d’aller vers le Grand Saint Bernard, où quelques éclaircies laissaient présager des conditions prometteuses. Avec les quelques centimètres de neige fraîche tombées durant la nuit, l’ambiance est hivernale, mais la température aussi ! Le soleil restant capricieux, nous avons finalement opté pour le confort de l’hospice plutôt qu’à un col de Barasson dans le brouillard. Et c’est sans regret que nous sommes redescendu joyeusement réchauffés et repus sur la route du col. Mais voilà qu’à mi-parcours, Jacques et quelques chef-fe-s de courses nous avaient concocté une simulation avalanche dans laquelle notre chef de course aurait été enseveli et que, nous les participants, devions sauver. Exercice enrichissant, mais il y a encore des progrès à faire ! ;-) Merci Toto pour cette première !








Di 1 déc. 2024
Feux de l'Avent




Me 27 nov. 2024
Montreux-Glion-Caux-Hauts de Caux
Nous sommes 12 à profiter de cette belle journée de novembre pour faire une randonnée si proche mais exigeante physiquement.
Après une approche aisée de Montreux aux Planches, nous grimpons les 1055 marches d’escaliers vers Glion, suivi d’une montée toute aussi longue et raide vers Caux. Une pente moins raide nous amène aux Hauts de Caux où nous terminons par un picnic avec le panorama grandiose qui nous a accompagné la plupart du temps. Nous avons ensuite pris un café au Coucou. Le groupe s’est scindé en 2 part égale, l’une descendant à pieds à Glion, l’autre faisant la traversée jusqu’aux Avants.
Tous nos pensées à Ariane qui est tombée à la descente sur Glion et a subi des fractures.








Ve 22 nov. 2024
Soirée de remerciements des Chefs-fes de courses
Merci à la commission pour cette belle soirée.
Fred








Je 21 nov. 2024
Source de la Venoge
On a un bien joli canton, des veaux, des vaches, des moutons, ... Et la Venoge!
Les jeudistes (15 participants) connaissaient le fameux poème de Gilles (Jean Villard). Maintenant ils ont vu la source principale de la Venoge, dénommée le Chauderon.
La météo était à la neige, provoquant des perturbations de trafic. A l'aller on a dû changer de train à Cully, mais d'accortes et souriantes jeunes filles nous ont offert de délicieuses boules de chocolat. Au retour, le car postal prévu étant annoncé avec un important retard, on a repris le MBC (Morges - Bière - Cossonay) à L'Isle, localité où nous avons mangé la langue de boeuf à "La Balance", établissement situé à côté de l'ancien poids public. Dans le temps les gens de la terre venaient y peser les chars à cercles.
Au bilan une saine journée au pied du Jura, vécue avec les premiers coups de boutoir du Général Hiver.






Me 20 nov. 2024
Begnins à Bassin
Départ en train depuis Vevey pour Bursins village. La météo nous a fait hésiter, quelques mercredistes ont renoncé, mais c'est avec le soleil qu’Anne-Lise nous attendait à l'arrivée du car postal. Nous sommes 9 marcheuses et marcheur pour cette sortie.
Le soleil, accompagné d’une petite bise sera notre compagnon de la journée et nous sommes ravis de découvrir le chemin qui nous mène à travers bois, vers la Pierre à 1000 trous, la Pierre au Serpent, la Pierre a Phébou, la Pierre a Roland… La forêt nous abrite de la bise pour un pique-nique rapide, puis nous continuons par Maison Rouge et les marais des Inversins. Un tiers des participants quitte l'équipe à Burtigny et rentre sur Vevey. Les 6 autres rejoignent Begnins ( la Châtaigneraie) par le vallon de la Serine jusqu'à Pré de Vaux, où nous retrouvons le bitume pour les quelques centaines de mètres restants avant le retour en bus jusqu'à Gland puis en train. Le temps a été très agréable, les couleurs magnifiques et nous sommes tout revigorés par la fraicheur ☀️🍁🧣
Merci Anne-Lise pour cette très agréable sortie, le partage de tes connaissances, et ton optimisme quant à la météo…
Anne








Je 14 nov. 2024
St-Ursen Bourguillon - Fribourg
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Me 13 nov. 2024
Visite de la vieille ville de Lausanne
Nous nous rendons ce matin dans le quartier sous-gare de Lausanne, pour y rencontrer Pierre Corajoux, passionné de sa ville, qui va nous entraîner dans une visite insolite et passionnante de ce quartier.
Nous découvrons une partie très charmante de cette ville, aux petites rues tranquilles et paisibles, aux beaux parcs et jardins. Les vieilles demeures côtoient des immeubles plus récents.
Nous apprenons qu’à l’époque, il était de bon ton d’avoir dans son parc privé un sequoia ou un cèdre...signe d’opulence. Et effectivement, tous ces arbres imposants se trouvent dans des propriétés privées!!!
La visite est riche en informations de toutes sortes, d’anecdotes…. et il est difficile d’en faire un retour.
Comme on est à Lausanne, il FAUT faire une petite montée raide…..la nôtre nous amène sur la colline du Langedoc (clin-d’oeil aux huguenots qui sont venus de France...) On y cultive de la vigne..on ne fait pas de vin...mais du jus de raisin distribué dans les crèches!
Depuis cette colline, la vue s’étend sur le lac et les 3 premières tours construites à Lausanne, dans le quartier de la Maladière.
Et encore une petite montée…. qui nous amène près de la gare et Plateforme 21.
Nous pique-niquons dans le hall du Musée de l’Elysée.
Puis la troupe de 18 participants s’éparpille, soit pour visiter les expos de l’Elysée, du Mudac ou du MCBA...ou encore monter jusqu’à la cathédrale et au sommet de son beffroi.
Très belles découvertes dans divers domaines, chacun/e y aura trouvé son compte et remercie chaleureusement Ariane de nous avoir concocté ce beau programme.
Sylviane.








Me 6 nov. 2024
Carrières de marbre de Saillon
En ce mercredi ensoleillé et doux, nous sommes 20 personnes très curieuses de découvrir les anciennes carrières de marbre de Saillon.
Ces carrières furent exploitées dès 1832 et jusque dans les années 70, par intermittence. Le marbre de Saillon, unique en son genre à cause de ses nervures de couleur, était très recherché et exporté un peu partout dans le monde. Pour les Veveysans, la marbrerie Rossier travaillait le marbre de Saillon...la devanture de la Librairie La Fontaine est en marbre de Saillon, ainsi que des colonnes de l’église Notre-Dame.
La randonnée (plus de 500m de dénivelé) à travers vignes et forêts, s’est faite avec Pascal Dalmati, guide local….vraie encyclopédie. Enfant de Saillon, il sait tout sur tout de sa région, et cela sur une période qui s’étale presque sur 2 siècles. Passionné et passionnant, il nous a captivé tout au long de la journée. Nous avons emmagasiné tant de choses, qu’il m’est impossible de tout raconter….pour ceux qui n’ont pas participé à cette journèe, vous pouvez trouver tous les renseignements sur internet “Association des amis du marbre de Saillon”.
Un grand merci à Martine qui a eu l’idée de nous emmener à Saillon...et qui nous a bien amusé avec son petit jeu à l’heure du pic-nic...à savoir, deviner le poids d’un gros morceau de marbre qu’elle avait ramassé….le gagant recevra une bonne bouteille de vin...valaisan!!!!!
A propos de vin...surprise au pic-nic….Pascal nous a offert l’apéro, en allant chercher des bouteilles dans une cave secrète!!!
Le retour en plaine se fait sous un soleil éblouissant et nous faisons encore un petit crochet pour visiter la Maison du marbre puis le vieux village, avant de nous désaltérer au seul bistrot ouvert et de reprendre le bus.
Sylviane.








Di 3 nov. 2024
Escalade automnale en mobilité douce
Ce week-end, Tim nous a proposé une sortie grimpe en falaise dans un des plus beaux sites de grimpes automnale du Bas Valais (et loin à la ronde) : Chemin-Dessus.
Avec sa vue plongeante sur les forêts aux couleurs changentes du Catogne, ainsi que sur les Ecandies, sans compter l’excellent granit dont est fait ce secteur, Chemin est une destination de choix pour une sortie de ce genre.
Et la foule était au rendez-vous, nous n’étions pas moins de 12 participants, sans compter les autres usagers du site. Si l’arrivée de tous les grimpeurs le matin, au pied de la falaise, était un peu tumultueuse, nous n’avons pas tardé à nous répartir sur ce grand secteur, redonnant au site le calme qu’il mérite.
Après une arrivée sur site aux alentours de 9.00, plusieurs d’entre nous ont grimpé jusqu’aux alentours de 16.30, bénéficiant jusqu’à là d’un soleil et d’une chaleur inhabituelle pour un mois de novembre.
Un grand merci encore une fois à Tim pour l’excellente coordination de cette sortie !




Je 31 oct. 2024
Niremont
Neuf participants pour monter au Niremont depuis Semsales par un temps splendide. Cela nous a changé de notre précédente marche d’il y a deux ans sous une pluie continue. A tel point qu’un brave fermier nous avait invité dans sa ferme pour consommer notre repas de midi.
Ciel bleu, mais terrain humide, il faut faire des pas de côté pour éviter les flaques boueuses. Après la montée de la Goillie au Cerf nous avons pique-niquer au tour d’une table avec bancs au sommet de cette butte, en plein soleil. Température cependant agréable car nous sommes en automne.
Le sommet du Niremont est plutôt plat mais toujours assez marécageux. Des copeaux de bois absorbent l’eau qui nous permet de marcher au sec.
Une petite heure plus tard, nous sommes au sommet du Niremont à une altitude de 1514 m. Un randonneur solitaire nous a aimablement fait une photo de groupe. A la descente, nous avons fait une halte à la petite chapelle de notre Dame du Niremont. Des bancs sont disposés devant celle-ci nous permettant de nous reposer un peu.
Descente vers Semsales par un joli chemin boisé et petite bière au café de l’Hôtel de Ville.
Lino Olivetta








Me 30 oct. 2024
Val d'Arpette - Champex
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Je 24 oct. 2024
Pyramides de Gypse
Chef de course Roland Piguet, 12 participants (dont une dame), météo automnale, couvert le matin, plutôt ensoleillé l’après-midi. 12 km, 560 m de dénivelé positif et négatif. Sentiers humides, zones marécageuses parfois. Difficulté T2.
Pas de train entre Villars et Bretaye, pour cause de travaux ? Alors on ira en voiture (3 autos) jusqu’au col de la Croix.
La buvette du col de la Croix « Chez Francine » est fermée ? Alors on prendra des thermos de café et des croissants « maison ».
Ainsi est débrouillard notre chef de course, qui a concocté un joli circuit autour de Chaux Ronde, effectué dans le sens contraire des aiguilles d’une montre. Des points de passage intéressants :
Col d’Encrène. Station de baguage d’ornithologues, qui logent sous tentes. Au col de Jaman, les observateurs de la faune ailée logent dans notre chalet, plus confortablement. Peu d’oiseaux !
Alpage de Perche. Beaux pâturages donnés au Moyen Age aux jeunes de la Forclaz par le châtelain d’Aigremont pour avoir sauvé sa fille Isabeau (rappel de notre course aux ruines d’Aigremont le 27 juin 2024).
Lac des Chavonnes. Joli site, coloré par les teintes automnales, avec des pêcheurs patients et une auberge fleurie.
Col de Bretaye. En effervescence durant la saison de ski, mais modestement fréquenté par des randonneurs et des vététistes en vacances d’automne. Un grand bassin porte l’inscription « Eau potable », devant le restaurant : bien !
Alpage d’Ensex. Petits bâtiments en bois, comme assoupis au soleil, en prévision de l’hiver.
Les pyramides de gypse. Un lieu géologique original formé par l’érosion. Un dédale de petites sentes parcourt cette zone intéressante, au relief tourmenté, avec des trous enserrant des pyramides de gypse. Découverte surprenante et photogénique.








Me 23 oct. 2024
Puidoux-Tour de Gourze en circuit
En ce matin du 23 octobre, il n’y a que des mercredistes des hauts pour aller se balader.
C’est couvert...mais nous pensions que cela allait se dégager dans la matinée.....eh bien non!!!….tout notre circuit pour la Tour de Gourze avec vue sur le Léman et les Alpes à l’aller, puis sur le lac de Bret , les Préalpres Fribourgeoises et Vaudoises au retour s’est fait dans la brume.
Par contre, nous avons admiré de mutiples sortes de champignons, de toutes couleurs, et de somptueux effets dans la forêt que nous a offert Dame Nature.
Un retour jusqu’à Chexbres le long du Forestay nous amène tout naturellement au Tea-Room pour une première récompense.
La deuxième rècompense...c’est que le soleil est resté absent même en plaine!!!!
Merci à tous pour votre joyeuse participation et votre bonne humeur!
Sylviane.








Me 16 oct. 2024
Vuippens - Gruyères-Gare
La pluie du matin a cessé, le ciel est encore gris. La balade commence dans le village de Vuippens, où nous apercevons une partie des jardins du château. Puis le long du sentier des légendes, « Gargantua » nous tend les bras le temps d’une photo de groupe.
Le soleil revient en force lors de notre arrivée au bord du lac près du pont de Corbières, mettant en valeur les couleurs d’automne.
Le repas de midi se déroule dans le sympathique restaurant « Goya Onda », où nous complétons le pique-nique avec une soupe à la courge et chataîgnes, une flammenkueche aux chanterelles et courges, ainsi que les desserts maison !
La vue est magnifique depuis la plage de Morlon. Nous reprenons le sentier le long du lac et de la Sarine, pour rejoindre le château de Broc.
Nous longeons ensuite la Trême, puis l’Albeuve. La vue dégagée nous permet d’admirer la cité de Gruyères et les sommets environnants baignés de soleil.
En arrivant à la gare, nous ravivons nos papilles notamment avec les glaces artisanales de la chocolaterie, bien appréciées au vu de la chaleur exceptionnelle de cette fin d’après-midi.
Sylvia et Marc








Sa 12 oct. 2024
Grimpe et chasse
Superbe journée de grimpe sur le thème de la chasse. Nos grimpeurs du jour ont surtout chassé les spits qui étaient au ressenti de certains un peu trop éloignés ;)
Stéphane, super chef de course, a organisé un covoiturage optimisé à destination du spot d’Arbaz. Belle paroi école de calcaire au milieu des arbres. Il y en avait pour tous «nos» niveaux. Belle ambiance qui nous a poussé à nous dépasser. S’être lever tôt a payé. Nous étions les premiers sur le spot et avons pu nous chauffé les doigts en douceur avant la venue des familles du coin.
Nous avons pu profiter de la belle vue sur les montagne valaisannes à la pause repas.
Nous nous sommes arrêter vers 17h pour nous diriger vers la bière bien méritée:) à la laiterie d’Arbaz. Très joli chalet pour rester dans une belle ambiance.
Après la grimpe, la chasse !
Stéphane a sélectionné un des meilleurs restaurant de chasse, «L’étoile» à Noville. Très bon accueil, très bon service et très bonne chasse ! Un menu 4* proposant des assiettes aussi belles à regarder qu’à déguster.
Merci à tous pour cette très belle journée.








Ve 11 oct. 2024
Animation
Pour la première brisolée du chalet de Jaman (vendredi soir et samedi à midi), la commission a été ravie d’accueillir une trentaine de membres de la Section ; des mercredistes, des jeudistes, des anciens qui renouaient avec la section, des actifs de longue date ou tout récemment entrés au club, des papas avec leurs enfants.
Le vendredi, certains sont allés rendre visite aux ornithologues (qui occupent le chalet depuis le mois d’août pour le baguage des oiseaux au col) et le samedi, sous la houlette de notre GO Bernard une balade du côté de Pierra Porcha – Les Cases et retour au chalet était au programme.
Deux jours durant lesquels les clubistes ont pu échanger, raconter les souvenirs et les anecdotes. Ils étaient contents de partager un moment convivial entre eux. Les papilles gustatives de nos hôtes ont été comblées par nos spécialistes du brisoloire, André et François, par les châtaignes accompagnées de fromage (Jaman et Filistin du fromager Marc du col de Jaman, de girolle de tête de moine et de vacherin Mont d’Or) ainsi qu’un peu de viande froide et quelques fruits de saison.
Pour clore la saison, la commission avait décidé d’inviter le fromager Marc et son employé afin de lui remettre une petite attention pour les services rendus durant l’ouverture du chalet (livraison du gaz, bois, etc..).
Un grand merci à tous les participants pour ces moments de partage et d’amitiés et à l’équipe de la commission qui répond toujours présent lors des différents travaux ou animations du chalet.
Marlyse 😊, intendante








Je 10 oct. 2024
Col du Pillon autour de la Palette
Cette année plusieurs courses ‘’jeudistes ‘’ se sont déroulées sous des pluies soutenues ; d’autres furent modifiées. Pour la même raison. Jeudi 10.10 après incertitudes et hésitations la course prévue ne fut pas annulée. La région du col du Pillon, lac Retaud, col des Andérets semblait plombée par la brume très dense. Les participants(tes ) se promenaient sur un sol humide, boueux par-ci par-là. Après deux heures trente de marche nous avons pique-niqué à Chalet Vieux. Vers 13 heures lorsque le soleil se dévoilait et laissait apparaître les sommets environnants, l’Arnensee apparut dans toute sa splendeur. Alors les dix jeudistes, requinqués(ées ) , ont terminé un circuit au col Pillon. Santé ! Gilbert





Me 9 oct. 2024
Torgon - Morgins
Pour diverses raisons, le but de la randonnée a été changé.
Cela s’est trouvé être une belle balade en terre fribourgeoise, à savoir le sentier des Sens et des Sons de Düdingen à Fribourg Poya.
Une joyeuse et colorée cohorte de 21 personnes (16+5) a eu un immense plaisir à faire cette découverte. Et une grande première avec une tranche d’âge des participants allant de 50 à 88 ans...quelle santé!!!!...Bravo Isabelle, Renée et Erika.
Parcours agréable et ludique, à travers campagne, forêts, sous-bois, belles fermes, bord de lac et de rivière, ponts…...…..et la découverte tant attendue, pour un gand nombre d’entre-nous, de l’Ermitage de Sainte Madeleine au bord du lac de Schiffenen. Lieu impressionnant, habité la première fois par un ermite en 1404….plus tard ...vers 1680...2 ermites y vécurent pendant plus de 40 ans, lui donnant son visage actuel…..on ne peut qu’être impressionné, admiratif et respectueux.
Nous déplaçant en transports public, nous avons été, aussi bien à l’aller qu’au retour, victimes de plusieurs retards, nous faisant louper la prochaine correspondance….mais tout ça dans la joie et la bonne humeur!
Grand merci à Myriam et Pierrot pour cette belle journée accompagnée de soleil.
Sylviane.








Di 6 oct. 2024
Dent Rouge
S’adapter, toujours ! Voilà qui fut le mot d’ordre de cette sympathique course. Avant même le départ, l’enneigement nous força à changer l’itinéraire prévu, une belle boucle dans les vallons de Javerne et d’Eurzanne, pour un tracé plus direct mais pas moins esthétique vers notre objectif du jour. Une fois à la Dent Rouge, le vent mordant apportant avec lui des voiles d’une légère brume nous imposa, encore une fois, de ne pas tous s’attendre au sommet comme prévu et de poser une piste de rappel entre les deux voies possibles à la montée, improvisant ainsi une sorte de parcours rapide permettant à tout le groupe de profiter de l’agréable escalade sans trop attendre au froid en haut, ni se faire descendre en rappel dessus ! Une fois en bas, midi à peine passés, c’est dans l’enthousiasme général que nous adaptâmes une fois encore le programme, en y rajoutant l’ascension de la toute proche Pointe des Savolères, ascension prudente à cause de la pente herbeuse raide et grasse mais joliment récompensée par une vue magnifique sur un paysage de contrastes: roches, neige, mélèzes et prairies dans toutes les multiples couleurs de l’automne. Nous descendîmes alors quelques centaines de mètres dans un terrain “déchiré” de blocs glissants et gelés et de boue propices à quelques chutes acrobatiques heureusement plus divertissantes que malheureuses, pour enfin retrouver le chemin des voitures et d’un pot bien mérité au “Chalet Heidi”, dont l’hospitalité, les bières et les spécialités méritent d’être plus que vantées. Merci à tous !








Sa 5 oct. 2024
Escalade à la Falaise du Vrieux
Participant(e)s : Daniela Jacot (CdC), Alain Jacot, Chantale Wenger, Carolina, Walther Reichhold, Oliver Kenyon, Joachim Desroches, Philippe Urner
Site d’escalade : vallon d’Arpette de Saleina, direction « prise d’eau », parking à 1300m, sentier raide en forêt à droite de la route forestière juste après le parking.
Conditions : exposition Sud, grimpe agréable au soleil, même pour un mois d’octobre, excellent gneiss bien adhérent. Grandes voies de 2-3 longueurs (5b à 6a+) avec quelques « moulinettes » (4 à 6b+). Escalade principalement en « dalle », avec quelques pas fins et intéressants en « réglettes-grattons ».
Attention au cotations « valaisannes » : certains 5c sont plutôt du 6a !
Bilan de la journée : un grand merci à Daniela pour cette découverte d’un site magique, peu fréquenté, pour une escalade exigeante sur un rocher parfait. Très bonne ambiance au sein des 4 cordées homogènes (dont l’une anglophone : Oliver a peu progressé en français avec Joachim !).
Philippe Urner




Sa 5 oct. 2024
Grimpe dans le val ferret ou val de bagne
Sortie Alfa – Grimpe et raclette à la prise d’eau de Saleina – 5 et 6 octobre 2024
Magnifique matinée (fin de matinée pour certains, voire petit début d’après-midi…) dans le Val Ferret pour découvrir les voies de la prise d’eau de Saleina. Certains mélèzes commencent à s’embraser, et nous profitons des rayons du soleil pour grimper et faire grimper les enfants. La variété des voies (du 4a au 6a) est idéale pour notre groupe et chacun y trouve son compte, y compris les amateurs de barbecues et de marshmallows grillés !
Une fois le soleil couché il est l’heure de rejoindre notre gîte pour y déguster une délicieuse raclette, puis de négocier la répartition des enfants dans les dortoirs. Le lendemain, sous un ciel maussade, nous allons faire une petite reconnaissance aux quelques voies installées à Sembrancher, puis certains vont grimper à la salle de Saxon, tandis que d’autres profitent de rentrer avant les bouchons.
Un tout grand merci à Simon pour la découverte du super secteur de Saleina, idéal pour grimper en famille, et pour l’organisation nickel du gîte et du souper. Nous avons tous passé un weekend mémorable !
Matthieu








Je 3 oct. 2024
Les gorges de la Borgne
Après le traditionnel café/croissant pris au « Stop » à Bramois nous chef, Bernard, nous invite à rejoindre l’ermitage de Longeborgne, l’un des derniers de Suisse encore habité en permanence. Ce dernier a été fondé il y a plus de 500 ans dans ce paysage grandiose.
Nous repartons par un raide sentier qui nous amène dans le vignoble où des vendangeurs sont en pleine action. Notre chemin continue de monter et notre groupe se sépare en deux. Nous longeons un verger qui comprend encore quelques cognassier originaires de perse pour ensuite atteindre Marguerona 989m), Seyvanne (965m) pour enfin pour redescendre vers le but de la journée, l’eau chaude de Combioula (693m) pour un bain relaxant à 20 degrés.
Malheureusement, suite aux intempéries de cet été le pont qui devait nous permettre de rejoindre la source d’eau chaude a été emporté par la rivière (voir photo). A noter que ces sources d’eau chaude, riches en sel minéraux, sont relatées déjà dans un manuscrit du 16ème siècle.
Dépité mais pas découragé nous remontons à Marguerona afin de mieux plonger vers le village de Bramois pour retrouver nos compagnons. Belle journée sous une température agréable.




Sa 21 sept. 2024
Trübelstock 2998m
Mont-Brûlé
"Au premier jour de l’automne, comme des milliers d'automne auparavant, le Mont-Brûlé, montagne au nom énigmatique, surplombe le petit village typique valaisan de Commeire. Le temps était encore chaud et d’été, mais les feuilles des myrtilliers sur le flanc Sud-ouest du sommet viraient au rouge. Donnant l’impression à la montagne de ressortir d’un brasier, probablement l’inspiration de son nom.
L’ascension a duré 3h environ et même lapse pour la redescende. Elle fut sans encombre, mise à part de nouvelles chaussures de marche capricieuses chez un des participants. La vue en valait la peine en tout cas !
La température était agréable, sauf au sommet où il faisait un peu trop froid quand le vent s’est levé pour être confortable de rester sur place. Autrement le soleil était présent et quelques nuages, qui sont malheureusement restés sur les sommets pour la plupart, n’ont pas été trop désagréables.
En résumé, ce fut une balade très agréable avec un défi dû au dénivelé, mais qui n’était pas insurmontable. Une belle expérience et de belles rencontres !" Thomas ARcelin








Me 18 sept. 2024
Pont de Nant - Trou à l'ours
La course a été déplacée car le chef de course a changé. Nous sommes montés au Mont Bifé et au Vanil des Cours depuis le parking des ruines de Montsalvens, 1 km avant Châtel sur Montsalvens.
Nous sommes des pionniers, car pour la première fois depuis longtemps nous avons appliqué l’égalité des sexes chez les mercredistes, 3 dames et 3 hommes.
Sur le chemin de la montée, nous longeons la crête et avons une magnifique vue sur le lac de Gruyère et la plateau romand. Malheureusement le brouillard et le soleil se disputent sans cesse. Après beaucoup de montée et quelques descentes, nous arrivons au premier but de la randonnée, le Mont Bifé.
Après le Mont Bifé, les hommes abandonnent les dames et continuent jusqu’au Vanil des Cours, alors que les dames prennent le chemin du retour. Le chemin du retour est à flanc de coteau dans un paysage souvent sauvage. Nous arrivons presque en même temps aux voitures. Nous terminons cette randonnée à un café patisserie à Broc. Dommage que le soleil annoncé a eu un excès de timidité.
Ottar







Di 15 sept. 2024
Longue voie: Bravo Lapp (Dalle à Bornet)
Jolie longue voie aux saveurs automnales 🍂🍄🍃
Une dizaine de longueurs bien équipées, deux cordées (Daniel/André, Stéphane/Chantale). Orientation sud-est, ce qui a signifié...s🌞leil.
Une verticalité « dolce vita » bien appréciée : merci Daniel 😀
Chantale








Sa 14 sept. 2024
Mäntliser
Un week-end qui pourrait s’appeler “Parfois la meteo fait très bien les choses” ou alors “Quand le plan C est presque mieux que le plan A”.
Inscrit pour le Mäntliser, le projet fut redirigé vers la cabane Sewen, pour terminer dans le val d’Aoste, plus précisément à Champorcher, en raison du front glacial accablant le nord des Alpes ces derniers jours.
Tous les participants ont été ravis par 3 journées de grimpe sportive et alpine, entre les placche Oriana à Courtil, le bec Raty et finalement le fameux Paretone à Arnad.
Comblés par une météo parfaite et une gastronomie valdôtaine savoureuse, logés tout confort à l’hôtel Beau-Séjour de Champorcher, nous sommes tous rentrés avec un grand sourire sur le visage après un weekend de grimpe exceptionnel ! Un grand merci à Marc qui s’est démené pour sauver cette courses des affres météorologiques!








Me 11 sept. 2024
Pigne d'la Lé+Pointes de Mourti 3563m, par larête
Voila voila,
Météo vraiment pas top.
ça pourrait passer sur un autre projet à la Foulie mais les participants ne sont pas du tout motivés. C’est dommage car ça passerait sur des petites courses d’arête à la journée.
Pour finir, une seule personne est motivée mais je décide de ne pas maintenir et ça l’arrange bien aussi. Nous allons au job.
J’aurais maintenue si nous avions été 4 .
Voila voila,
Météo ...
Lu 9 sept. 2024
Région Genevoise et Annecy
CLUBISTIQUE À THÔNES DU 09.09.2024 AU 14.09.2024
LUNDI 09.09.2024
Il a plu presque une seule fois depuis notre départ pour la clubistique!Le GPS nous à promené dans la nature pour rejoindre Lavagny et les Gorges du Fier. C’est une découverte géologique étonnante, magique et spectaculaire! Pour finir en beauté cette journée pluvieuse, rien de tel que de: “manger est une necessité, savourer c’est de l’art”. Nous nous régalons au restaurant de “le Peille” chez Nadège et Nicolas à Saint-Jean -de-Sixt.
MARDI 10.09.2024
Départ en bus pour Annecy ou nous attend Denis, notre guide, pour une visite vivante et plaine d’anecdotes.Denis qui rêvait de devenir guide de montagne! Repas dans la meilleure Crêperie d’Annecy.Retour à Thônes en bus ou on reprend les voitures pour monter au Col de la Colombière et dans la vallée des Confins pour profiter des seuls moments de soleil.
MERCREDI 11.09.2024
La matinée est dédiée à la visite de la Chartreuse du Reposoir. C’est une énorme bâtisse posée au fond d’un vallon entourée de montagnes rocheuses imposantes.Il ne restent plus que 9 soeurs Carmélites qui prient pour un monde meilleur! Un magnifique potagé se trouve en face de la Chartreuse sur une colline,ou il bénéficie de 2 heures d’ensoleillement supplémentaire. Le pique-nique se déroule en compagnie de 7 canes habitantes des lieux, en quête de quelque miettes.
Montée au Plateau des Glières,haut lieux de la Résistance de la deuxième guerre mondiale.Encore une fois une pluie battante et le froid, nous accompagne. Nous visitons le Mémorial et assistons à la projection du film sur Les Maquis des Glières. Retour par la route plus longue mais plus rapide, en direction Thônes.
JEUDI 12.09.2024
Vu le temps incertain, nous décidons de partir à pied le long du Fier. Le chemin prend soudainement fin à l’usine Mobalpa! En passant sous le grillage, ni vu ni counnus, nous déjouons la sécurité de l’usine!!!! Enfin sur le bon chemin,nous arrivons à la Nécropole nationale des Glières, ou nous visitons le musée de la Résistance haut -savoyarde. Encore une journée d’histoire.
VENDREDI 13.09.2024
La neige à saupoudré les cimes des montagnes, donc encore une fois, journée visite. Annecy avec son marché coloré et ses ruelles animées, invitent à flâner et à faire des achats. Retour en balade jusqu’à Veyrier puis bus pour rejoindre Thônes.
SAMEDI 14.09.2024
Nous profitons du marché de Thônes avant de prendre le chemin du retour. La semaine se termine dans la bonne humeur. Nous n’avons pas réalisé toutes les belles balades que la région nous propose car la puie, la neige et le froid nous en a empêché. C’est une raison pour la quelle, peut être, on ne sait jamais…...à une autre fois!
Merci beaucoup au perssonnel de l’Hôtel du Commerce à Thônes pour leur accueuil et spécialement à Nicolas le cuisinier, qui avec ses plats plein de fantaisie, nous a régalé.
Un grand merci à Anne-Marguerite pour l’organisation que tout le monde à beaucoup apprécié.








Sa 31 août 2024
Courone de Bréona
Récit de course un poil expéditif, mais plein de gratitude envers notre CdC, qui a encadré notre groupe avec un grand savoir-faire.
Nos 3 cordées ont été relativement efficaces, pour une traversée du col de la Couronne à celui de Breona en 5h30.
Cette arête est un super terrain d’entraînement où toutes les techniques de progressions sont mises en application, sans compter une bonne dose de désescalade, et avec le minimum d’équipement en place. Le rocher est globalement bon, mais la pose de friends demandent beaucoup se précaution, en raison de l’omniprésence de liquen dans les fissures.
Une bien belle journée en montagne, où la meteo a été de notre côté, et où l’on a croisé bien peu de cordées !





Sa 31 août 2024
Initiation et formation au canyoning
Samedi matin, 8h45, rendez-vous fixé derrière la gare de Vevey. Le petit groupe se forme, tout sourire aux lèvres, à l'idée de découvrir pour certains, pour la première fois, les joies du canyoning, ou de renfiler une combinaison pour d'autres (car évidemment, le meilleur moment de la journée, c'est quand on met ou on enlève la combi dans ce sport ;)).
Première étape : direction Charmey pour une petite halte café et croissants afin de faire connaissance, discuter des attentes de chacun pour le week-end et échanger sur les expériences utiles de tous. Dans notre groupe, on trouve un peu de tout : des personnes n'ayant jamais pratiqué et ayant une furieuse envie de découverte, et d'autres qui en ont déjà fait plusieurs fois, mais qui sont tout aussi heureux de pouvoir renfiler une combi et s'y adonner près de chez eux. Après cette mise en bouche, départ pour entrer dans le vif du sujet avec le canyon du Petit Mont. Il s’agit d’un canyon de niveau intermédiaire, parfait pour débuter. Tout d'abord, nous voyons les manipulations en binôme durant la première demi-heure. Et c’est parti pour une succession de cascades et de toboggans, idéal pour s'entraîner aux manips :) Nous avons même droit à deux jolis sauts, pour le plus grand bonheur des plus téméraires ! Et pour finir le canyon, une cascade de 25 mètres :) En fin de parcours, tout le monde a le sourire aux lèvres et l'envie de repartir pour un tour. Après avoir ôté les combis et récupéré les voitures, nous nous retrouvons autour d'une bière au pied du téléphérique de Charmey. On débriefe la journée et Jérôme nous propose deux options pour le lendemain : un canyon vers Conthey, de niveau intermédiaire, très impressionnant, ou le canyon de l'Eau Froide, près de Roche, plus engagé. Le choix est vite fait et se porte sur le canyon de l'Eau Froide :)
Dimanche matin, rendez-vous à 9h15 à Roche. Une petite marche d'approche nous attend pour rejoindre l'entrée de la partie basse du canyon. Jérôme nous apprend à faire un sac à dos avec la combi, pour transporter notre matériel. Une marche de 45 minutes sur un joli sentier en forêt nous conduit au sommet. Juste avant, nous faisons une halte sur un pont qui nous permet d'apercevoir les deux premières cascades. Jérôme nous demande alors de réfléchir à comment nous envisageons chaque obstacle. Puis c’est parti :) Première cascade de 32 mètres, avec un toboggan possible de 20 mètres. Heureusement, la hauteur est ajustable selon la témérité de chacun ! Et, en plus, elle est facilement refaisable grâce à une corde fixe qui permet de regagner le début de la cascade :) De quoi accrocher un sourire sur tous les visages, un sourire qui n'est pas près de disparaître ! S'ensuit une succession de cascades et de toboggans, tous plus beaux les uns que les autres. Jérôme nous demande aussi de gérer les obstacles. On envoie l'un de nous en éclaireur pour vérifier s'il y a assez de fond pour faire un toboggan. Pendant que les uns finissent de descendre, les autres rangent les cordes ou installent le prochain relais. Tout se déroule fluidement, dans une chouette ambiance de groupe :) Nous terminons le canyon par un joli bassin où il est possible de faire un saut de 8 mètres ! À la fin du canyon, Jérôme nous annonce qu'il a vu qu'une cellule orageuse pourrait arriver plus tôt que prévu, c'est pourquoi il nous avait fait accélérer un peu. Nous ne traînons pas pour sortir du canyon et terminons par un joli débrief. Tout le monde est enchanté par l'expérience et reconnaissant pour la belle ambiance que nous avons eue. Alors, merci Jérôme d'avoir proposé ce beau week-end, et vivement la prochaine sortie :)








Sa 31 août 2024
Clubistique Tessin
Clubistique des jeudistes de Jaman du 31.8 au 6.9 24 à Coglio dans la Val Maggia
Dimanche 1er septembre 2024
Cimalmotto, 1403 m, est un petit village propret atteint après avoir emprunté trois cars postaux, tous maniables pour négocier les épingles à cheveux et équipés de klaxon à trois tons (la, do dièse, mi). Les murs du parvis de l’église comportent des scènes bibliques, peintes avec foi dans le temps et bien rénovées aujourd’hui. Les croix et les oratoires rencontrés témoignent de l’importance de la religion dans ces fonds de vallées encaissées que peuplèrent les Walser, venus du Haut Valais. Aujourd’hui les vieux chalets aux toits de pierres ont été aménagés en rusticis, maisons de vacances au cachet indéniable.
Pour atteindre la passo Quadrella, 2136 m, le sentieri da montagna est agréable, bien que pentu évidemment, tapissé d’aiguilles de mélèzes et souvent à l’ombre d’une végétation luxuriante. Au-delà du col, le sentier est plus caillouteux et austère, de caractère alpin. Il culmine à 2189 m, d’où la vue plonge sur Bosco Gurin, 1506 m, blotti au fond de l’amphithéâtre des pentes de ce village qui est devenu une petite station de ski. Un bisse bien joli et partiellement en eau a été taillé dans les rochers sur quelques centaines de mètres pour approvisionner l’alpage de Quadrella di Fuori, au sud. Au nord-est, l’alpage de Grossalp dispose d’un télésiège qui nous ramènera à Bosco Gurin, avec les jeudistes 2, qui avaient constaté avec dépit que la capanna Grossalp était temporairement fermée. Quatre intrépides compagnons sont descendus en trottinettes : c’est plus risqué ! Plus haute commune tessinoise, le village, fondé en 1253 par les Walser, est bien soigné mais ne compte qu’une cinquantaine d’habitants à l’année. Sa visite, à pied dans ses étroites ruelles pavées, est comme un saut dans le passé. Les châtaigniers séculaires aux troncs ridés demeurent les témoins muets d’une sacrée évolution !
Lundi 2 septembre 2024
Aurèle propose aux jeudistes 1 une randonnée circulaire dans la Valle del Salto. Une vallée très encaissée, sauvage, qui débute dans le pittoresque village Maggia 340m. Une excursion dans un terrain le plus souvent boisé et rocailleux.
Nous effectuerons la montée sur la rive droite et la descente sur la rive opposée.
Un peu en dessus du village on découvre la chapelle Sta Maria della Pioda (ou de la cascade), première d’une série d’autres chapelles rappelant le passé religieux ancestral de la région ; puis le pont qui nous permettra de passer sur l’autre rive au retour. Un magnifique pont romain qui enjambe de très haut la rivière tumultueuse Riale del Salto.
Le cheminement s’effectue à travers une végétation variée, dense et laissée à elle-même. De nombreux vieux arbres, tordus, rongés par les intempéries et par le temps, exposent des œuvres d’art naturelles surprenantes. Sur les châtaigniers, les nombreuses bogues jaunes rappellent les boules sur nos sapins de Noël.
Le sentier, bien aménagé, comporte de longs bouts pavés de dalles ou de cailloux, de très beaux escaliers, de solides murs de soutènement et de protection, le tout en pierres admirablement déposées ou superposées : un travail qui mérite l’admiration !
Dans les parties boisées apparaissent, sur les deux versants et à plusieurs endroits perdus, des pacages (pâturages où l’on mène paître le bétail), avec un ou plusieurs rustici (habitations en pierres sèches). Certains rustici semblent abandonnés, d’autres ont été transformés en ravissantes habitations de villégiature.
A l’approche d’In Canaa 874 m, le point le plus élevé de la randonnée, la pluie nous rejoint. Elle ne va heureusement pas durer longtemps.
De là le sentier descend jusqu’au Riale del Salto que l’on traverse sur la digue d’une prise d’eau destinée à la production d’électricité.
L’endroit est ravissant et propice pour l’apéro, le dîner . . . et plus selon besoin et envie (un abri en cas de nouvelle pluie, de l’eau courante de rivière avec une petite gouille pour faire trempette). Un seul optera pour la trempette !
Le retour s’effectue comme prévu sur la rive gauche du Riale del Salto.
Les plus rapides filent directement vers Coglio et l’hôtel. Les autres s’arrêtent à Maggia pour un petit café accompagné d’une excellente tranche de panettone au chocolat, offerte par Pierre. Une spécialité du coin, à ne pas manquer ! (Panetteria Poncini, Maggia)
Jean-Pierre
Mardi 2 septembre 2024 – jeudistes 2
Après la traversée de la Maggia sur un pont suspendu brinquebalent, nous suivons sa rive droite. On peut se rendre compte des ravages et du débordement de la rivière lors des intempéries de fin juin passé en constatant la présence de dépots de limon très loin de son lit ainsi que d'un pont suspendu arraché et ne restant qu'en lambeaux.La vallée se resserrant, nous devons prendre de l'altitude par un typique sentier tessinois (très calliouteux) et suivre par une descente scabreuse, heureusement dotée de chaines pour se cramponer et nous retrouver au bord de la Maggia que nous traversons pour prendre le bus du retour.
Bernard
Mardi 3 septembre 2024 – jeudistes 1
De notre lieu de villégiature, Coglio 350m, nous remontons toute la vallée de la Maggia. Nous pouvons voir les dégâts infligés au pont et aux rives lors des récentes crues.
Au bout de cette vallée, ou plutôt gorge, se trouve le joli village de Fusio 1289m, qui sera notre point de départ pédestre. Nous montons par la forêt, puis plus haut par l’alpage de Mognola et apercevons au loin le barrage et le lac artificiel de Sambuco, en amont de la Maggia. Plus haut, vers 2000m, nous découvrons un superbe bisse de pierres taillées, restauré récemment, que nous suivons pour arriver au charmant petit lac de Mognola 2003m. Le lieu et l’heure sont tout indiqués pour le pique-nique ! Dont acte... Un unique courageux, Pierre S. pour ne pas le nommer, bientôt s’élance pour un bain aussi glacial que... bref !
Et c’est ensuite la descente, qui donne lieu à plusieurs tentatives et colloques sur le chemin le plus court, qui n’est pas toujours le moins long... Dieu semblant heureusement nous avoir pris sous sa protection, nous nous retrouvons tous à la chapelle de Mogno, dédiée à S. Giov. Battista (Saint Jean-Baptiste en français). En 1986, une gigantesque avalanche emporta l’ancienne église – Tessin au climat parfois si contrasté – et le grand architecte Mario Botta fut chargé de concevoir la nouvelle. Techniquement et artistiquement époustouflante, elle ne laisse personne indifférent...
Dans ce charmant village de Mogno, nous prenons le premier bus nous ramenant à Coglio, après une journée mémorable alliant tourisme et sport (« mens sana in corpore sano » !)
Mardi 3 septembre 2024, jeudistes 2
Bel itinéraire au grand air et en pleine nature. Bus jusqu’à Fusio 1289m, dans la haute vallée de la Maggia, au pied du barrage du lac Sambuco 1462m. Montée en zigzag sur une route gazonnée, beaucoup de mélèzes, nombreux ruisseaux, tout cela dans un cadre rocheux saisissant de majesté !
Au barrage, grand étonnement en voyant des dizaines d’hirondelles de fenêtre qui nichent le long du barrage, sur les appuis du parcours de grimpe. Ballet sifflant et rapide, de toute beauté, de ces oiseaux qui, fin septembre, vont partir pour l’Afrique…
Du barrage, descente sur la rive gauche de la Maggia, principalement en forêt, puis dans les prés jusqu’à Mogno, célèbre pour la chapelle de l’architecte Mario Botta. L’intérieur de ce lieu de prière dégage un sentiment de grande sérénité, propice à la méditation et au bonheur de vivre cette semaine de camaraderie.
Pierre-André
Mercredi 4 septembre 2024 – Jeudistes 1
Après un déplacement en bus pour Monte Carasso, montée (env. 600m) pour rejoindre un pont tibétain (selon la carte - ne serait-il pas plutôt népalais ?). Le sentier est escarpé et nous transpirons fortement avec cette chaleur lourde. Notre balade est partagée avec une course d’école d’adolescent.e.s, et nous constatons que nos rythmes sont différents. Une fois le pont franchi et un sentier à flanc de coteau passé, le pique-nique dans les ruines quelque peu restaurées de Curzútt est apprécié. Puis café au hameau de Curzútt et descente en téléphérique (pour la plupart) afin de rejoindre notre point de départ. L’après-midi s’achève (pour certains) par une baignade dans la rivière proche de notre hôtel.
Mercredi 4 septembre 2024 – Jeudistes 2
Aujourd’hui tous les jeudistes se déplacent jusqu’à Bellinzona / Monte-Carasso.
Les groupes se séparent. Nous sommes 6 à profiter du petit téléphérique qui relie Monte Carasso à Mornera, qui nous hisse jusqu’à la station intermédiaire de Curzútt. Selon le circuit concocté par Aurèle, notre GO de la semaine, nous prenons la direction de l’église San Bernardo. Perchée à 600m, sa première construction date du12ème siècle. Elle a été agrandie à plusieurs reprises ; sa conception actuelle date de 1450. Dans la seconde moitié du 15ème siècle, murs et plafond sont magnifiquement peints par les artistes de la famille Seregnesi. La guide de cette chapelle se fait un plaisir de nous conter ces anecdotes, mais notre chemin ne s’arrête pas là : le pont tibétain est encore loin. Il fait chaud et humide, ça transpire ! Le pont est en vue, mais il se situe 100m en contrebas ! On hésite, descendre pour remonter… Nous prenons directement le chemin pour la zone archéologique de Puncètè où nous rejoindra le groupe 1. Sur la terrasse du resto de Curzútt, la bière sera la bienvenue !
André
Jeudi 5 septembre 2024
8h du matin : on constate que ce jeudi sera très humide.
Au petit-déjeuner, notre GO confirme qu’il n’y aura pas de marche telle qu’initialement prévue. Décision est prise d’une journée libre pour visiter le Tessin.
Certains jeudistes optent pour Lugano, d’autres pour Bellinzone.
Arrivés dans la capitale tessinoise, il faut quand même monter pour visiter l’un des châteaux majestueux du lieu. En descendant, on aperçoit l’édifice du Tribunal pénal fédéral.
Malgré la pluie, le repas de midi se déroule en plein air, sous les bâches d’une terrasse locale.
En conclusion : cette journée a beaucoup plu !!!








Je 29 août 2024
Morgins Bec de Corbeau
Nous étions 13 par cette belle journée de fin d’été pour deux itinéraires au départ de Morgins. Arrivée de bonne humeur à la Boulangerie « au beau réveil », mais démarrage plus tendu pour définir les groupes « un » et « deux ». La logique de groupe face à la légitimité du choix individuel ! Dilemme éternel…..
Finalement 3 d’entre nous se promènerons sur le sentier des ponts et les dix autres s’attaqueront au Bec du Corbeau. L’arrête final Sud-Est du sommet demandera une bonne poussée de jambe et même un soutien des bras et des bâtons.
Après un repas à l’ombre, une descente bien agréable au frais et un retour en demi-cercle sur une pelouse presque « anglaise ». Un questionnement légitime sur la fin du parcours est évincé par le chef de course.
Retour à la boulangerie pour un rafraichissement bien mérité. Le trajet de retour en bus puis en train à Vevey se fera dans un timing véritablement minuté.








Me 28 août 2024
Chandolin - Ilhorn - Bella Tola
Mercredi 28 août
Départ de Vevey en train 7h36 puis bus pour Chandolin d’où 13 Mercredistes prennent le chemin de l’Illgraben.
Wouaouh….impressionnant et vertigineux! Il faut ensuite avoir des jarrets de chamois et profiter des racines pour se hisser de 110m près du bord du gouffre.
La suite de la journée se déroule à merveille, sous le soleil, parmi les pins et les myrtilles (…miam..) face à une vue majestueuse tant sur la rive droite du Rhône que sur la Dent Blanche, le Cervin et tant d’autres sommets majestueux…
Arrivée à la cabane de la Bella Tola où après une bonne douche et un agréable repas, nous passons une sympathique soirée dans un lieu tout modernisé en 2021. Un magnifique coucher de soleil transforme les nuages en dentelle…
Et demain…?
Merci déjà à Marianne pour l’organisation du trajet et à Anne-Marguerite pour cette belle sortie
Anne
2ème journée de rando. 6h15 les marmottes sont déjà à l’affût. Nous 7h déjeuné, cafés servis avec gentillesse et sourires. 8h départ pour le Bella Tola. Journée radieuse, pas un nuage. La rosée fait briller les magnifiques restes d’anémones. À mi parcour nous nous séparons en trois groupes. 7 pour la Bella Tola, 4 pour les lacs et direction chalet!!Blanc qui se prénome Dorgnon. 2 partent de leur côté. En route quelques hésitations apparaissent sur la direction du lac Combavert. Nous continuons avec quelques recherches et doutes. Arrivons sur l’alpage du Crét et de là suivons un joli petit bisse et une traversée de pâturage qui nous amène sur le bon chemin. ( maison Combavert) Le lac nous ne l’avons pas vu. Sue et Ghislaine nous quittent pour aller manger une tarte aux myrtilles à l’hôtel Weisshorn et décendre à pied à St. Luc.René et Pierrot parten à Tignousa et Anne et moi nous faisons le chemin des planètes après s’être alimentées. À 15h nous nous retrouvons pour prendre le funi.Un tout grand merci aux organisatrices. merci pour la solidarité et cette merveilleuse entente générale. Un merci tout particulier à Daniel qui m’a porté mon sac à Illgraben. Ce fûrent deux magnifiques journées.
Mireille
Récit de course du 29 août, de la cabane de Bella Tola au sommet de Bella Tola et descente sur Tignousa
Course surprise ou jeu de pistes, les pistes n’étant pas ce qu’on pense… course très séquentielle, ce récit concerne deux petits groupes pour la montée et un seul réuni pour la descente, en tout 7 valeureux randonneuses et randonneurs.
Monter, la belle affaire ! Il suffit de poser un pied au-dessus de l’autre juste derrière Anne-Marguerite, de faire un joli zig-zag en montant la piste de ski, pour ourler les bordures, et de fil en aiguille s’élever. Plus haut, bien plus haut, trouver le fromage marqué d’une pierre blanche, fromage qui vadrouille d’un sac à l’autre avant de finir dans l’estomac.
Mais descendre ? Quand tout a été chamboulé, modifié, bouleversé pour « traxer » des pistes de skis ! Oubliées les belles promesses de remettre en état le terrain, oubliée la propagande des stations de skis de se consacrer aussi, autant, aux sports d’été. Les pauvres marcheurs doivent deviner où pourrait être le passage le moins dévasté, caillouteux, torturé. Un seul et unique panneau indicatif, et ensuite plus rien, aucune marque, en été le désert en hiver le ski ! Evidemment les skieurs rapportent plus que les randonneurs. On en parle même pas de la biodiversité ravagée…
En résumé, un quart de la descente s’est effectuée sur de « vrais » sentiers, le reste a plutôt été un jeu de pistes… de ski. Bravo à l’équipe pour qui le chemin est là où on passe. Et gratitude à Anne-Marguerite qui nous a conduit à bon port, ou plutôt bon funiculaire, et à Marianne qui a coorganisé la course.
Sylvie








Je 22 août 2024
Emosson Col de Barberine Les Marécotes
Emosson – Les Marécottes
Un voyage ascensationnel
Pour rejoindre le barrage d’Emosson, les 19 participants à cette belle journée ensoleillée ont d’abord, dès Martigny, emprunté le Mont-Blanc-Express, cette spectaculaire ligne ferroviaire (ouverte complètement en 1908 jusqu’à Chamonix) qui remonte la vallée du Trient. Dès Le Châtelard-Village, VerticAlp propose son parcours ascensationnel, c’est-à-dire la trilogie funiculaire très raide jusqu’aux Montuires, petit train à voie étroite sur son balcon panoramique jusqu’au pied du barrage d’Emosson, d’où un minifunic hisse les touristes au couronnement du barrage. Café/croissant en admirant le massif du Mont Blanc.
La route des Diligences
Environ trois heures de marche pour les jeudistes 2, qui, ayant rejoint Finhaut et ses hôtels historiques, ont emprunté la route des Diligences jusqu’aux Marécottes. Cette route, construite au milieu du 19ème siècle, fait partie de la Via Cork, du nom de l’Anglais Thomas Cork, pionnier du tourisme alpin. Pause bienvenue au zoo et à la piscine des Marécottes en attendant les jeudistes 1 !
Le col de Barberine et ses traces d’archosaures
Pas loin de 6 heures de marche pour les jeudistes 1 qui, en longeant le lac d’Emosson, ont eu une pensée pour leurs aînés de la section Jaman qui, ayant construit la cabane de Barberine en 1898, ont dû la vendre aux CFF qui construisaient le barrage de Barberine. Ce dernier a à son tour aussi été noyé par le nouveau barrage d’Emosson, le deuxième plus grand de Suisse après la Grande Dixence. Avec les sous, nos aïeux ont construit la cabane Mont Fort, qui fêtera son centième anniversaire en 2025. Au col de Barberine, 2481 m, un engin de terrassement et du personnel de la commune de Finhaut effectuent une réfection du sentier : bravo ! A l’altitude environ 2200 m côté Emaney, au nord-est, une paroi rocheuse dénudée est en fait une plage d’une mer tropicale d’il y a 240 millions d’années, avant le plissement des Alpes qui date de 70-80 millions d’années. On y a vu des empreintes de pas d’archosaures, les ancêtres des dinosaures! Dès l’alpage d’Emaney, encore une heure et demie de descente jusqu’à la gare des Marécottes, 1030 m. Retrouvailles avec les jeudistes 2 et retour à Vevey, les muscles passablement endoloris, mais avec le sentiment d’avoir bien rempli la journée !








Me 21 août 2024
Lac de Fenêtre -Grand St. Bernard depuis Ferret
Tôt ce matin 8 mercredistes (malheureusement sans Myriam notre chef de course) prennent trains-bus pour enfin arriver à Ferret.
Un petit café au restaurant Col Ferret nous requinque avant de s’attaquer à la grand montée aux lacs de Fenêtre. Après 2h30 de montée nous y voici.
Nous savourons notre pic-nic devant un panorama grandiose: les 3 lacs et un magnifique cirque de montagne avec entre autres le Mont Blanc.
Une heure de montée nous attend encore avant d’arriver au col Fenêtre de Ferret à 2695m. Nous descendons sur l’Italie et rejoignons le col du Grand St Bernard.
Une bière italienne est la bienvenue avant de rejoindre notre pays.
Une magnifique journée ensoleillée s’achève, merci à tous les participants/tes et bon rétablissement à Myriam.
Marianne








Ma 20 août 2024
Granit d'Orny
Une dizaine de questions sous forme de quizz, dans le but de révéler quelques éléments forts de la sortie Granit d'Orny. Les réponses possibles sont soit « JUSTE », soit « FAUX » !!!!!
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1) Pour cette sortie, le nombre d'inscrits maximal (six) proposé par les deux chefs de course a été respecté.
Rép : C'est faux. Outre Toto (chef de course), Jacques Grandjean (chef de course adjoint), il
y avait huit autres participants : Nicole Frei-Grandjean, Ariane Gachet, Isabelle Waser, Chantale Wenger, Daniel Egli, Pierre Egli, Pierre Bornet et André Waser.
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2) Beaucoup de petites fleurs jalonnent le parcours de la montée à la cabane Orny. Mais il n'y a pas que des petites fleurs végétales, l'une d'entre elle est minérale.
Rép : C'est vrai. Aux (environ) 3/4 de la montée à la cabane, une voie (bien équipée) porte le nom de « Petite fleur ». Longueurs magnifiques (4), aux difficultés modestes, gravies par trois cordées : Toto-Ariane, André-Isabelle et Daniel-Pierre E. Les autres membres du groupe ont profité de quelques petites longueurs sises derrière la cabane.
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3) Comme de coutume, la cabane était bondée.
Rép : C'est faux. Nous avons eu la chance de résider dans une cabane à moitié pleine. De bonnes dates (en semaine, après les vacances d’été) choisies par notre chef !
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4) Comme il n'y a pratiquement pas de grimpe sur blocs aux alentours de la cabane, on ne voit nulle part de tapis de sol (crashpad). Il existe néanmoins une moquette en amont de la cabane... bizarre !
Rép : C'est vrai. « Moquette » est le nom d'une voie de neuf longueurs, bien équipée, à environ trois quarts d'heure de marche de la cabane. Quatre cordées ont profité de ce magnifique parcours : Toto-Ariane, André-Isabelle, Pierre B-Chantale, Pierre E-Daniel. Jacques et Nicole, quant à eux, sont partis, au petit matin, en direction de « Petite Fourche ».
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5) La grande baignoire qui jouxte l'emplacement de l'ancienne cabane Orny est toujours présente.
Rép : C'est vrai... Petit lac accueillant et suffisamment intéressant pour que trois valeureux grimpeurs en profitent pour une petite baignade... plutôt fraiche.
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6) A mi-parcours de l'itinéraire de montée à la cabane se trouve un grand plateau : le Plan de l'Arche. Ce nom a été donné par un géographe qui appréciait particulièrement Kevin Costner et les Aventuriers de l'Arche perdue.
Rép : C'est faux (évidemment!). Ce plateau est bordé de montagnes, le tout ressemblant à une arche, telle l'Arche de Noé...
7) Un invité surprise, grimpeur de niveau mondial, a partagé notre repas du jeudi soir.
Rép : C'est vrai. Il s'agit de Didier Berthod, ami de Jacques Grandjean, qui nous a fait
l'honneur de sa présence. Grand moment de partage avec Didier, personnage au parcours de vie atypique, doté d'une personnalité très attachante.
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8) Le nombre de participants montant à pied à la cabane, n'est pas le même que celui pour la descente.
Rép : C'est vrai (malheureusement). Nicole est descendue en hélicoptère pour se faire recoudre une blessure à la jambe, après avoir rencontré fort malencontreusement un rocher trop acéré.
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9) Les belles voies nommées « Bon accueil », « Namaste » et « Tichodrome » ont clôturé ces trois jours de grimpe.
Rép : C'est vrai. L'équipe entière s'est répartie dans ces trois merveilles qui, toutes, arrivent au même sommet.
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10) Toto a décidé que, pour le programme de la section, il n'organiserait plus de sorties estivales sur plusieurs jours
Rép : C'est (malheureusement) vrai... jusqu'à preuve du contraire !
Telle est sa décision. Voilà l'occasion pour nous de te remercier, Toto, pour ton enthousiasme communicatif, ton optimisme et ta bonne humeur, cocktail si important pour la qualité de l'ambiance d'un groupe. Ton organisation et le choix de tes itinéraires méritent, une fois de plus, une « gommette »...André








Lu 19 août 2024
Arête des Verraux
voila voila,
Mauvaises conditions météo.
Nous sommes allé grimper a St Trif en grosse histoire de se mettre alaise sur le cayoux humide et sentir un peu la frictions des chaussures. Nous avons bien rigolé. ça a laissé au ciel le temps de s’éclaircir.
Le groupe était motivé alors nous sommes monté au Gais Alpins.
C’était parfait.
ça nous a bien fait plaisir.
2 cordées de 2.
Chiffre parfait.
Les participants étaient très content et moi aussi.
Journée en semaine très réussie.
Voila.
voila voila,
Mauvaises condition ...
Sa 17 août 2024
Dépasser la peur de la chute et engagement mental
La meteo de ce weekend aura forcé à opter pour une solution de replis à la salle de Villeneuve, mais Vincent Hentsch (mouskif.ch) a comme toujours proposé un programme de qualité à ses participants.
Pour reprendre les mots de l’un d’entre eux :
“Le matin école de vol très progressif avec au début en moulinette avec de plus en plus de mou et puis en tête! Finalement c’est égal c’est juste la peur irrationnelle d’etre en tête!
On a grignoté un pique-nique en 30 minutes et on est reparti!! Vincent est au taquet
L’après midi on a appris les 3 phases se reposer, réfléchir et prendre une décision!
Ensuite on a appris à être en mouvement ! Toujours avec 3/4 principes: visualiser les prises, respirer et avancer en continu toujours avec la conscience de son corps
Le mantra du cours :
- quand tu te reposes, repose toi
- quand tu grimpes, grimpes
Également on a appris à vivre l’instant présent, de ne pas se faire envahir par le doute du futur et d’avancer”
Si le cours n’a pas été simple a remplir cette année, et a nécessité de contacter d’autres sections de la région pour le compléter, les nombreux messages de remerciements de la part des participants sont une grande satisfaction pour les organisateurs du cours !


Sa 17 août 2024
Gross-Bigerhorn
Annulé
Annulé
...Je 15 août 2024
Breithorn
L’excursion était prévue au Breithorn, dans le Binntal, mais quelques jours plus tôt, Jean-Pierre Pintozzi, chef de course, réalise à l’occasion d’un téléphone que suite aux intempéries de juillet, la vallée n’est plus accessible ! Il a fallu trouver au dernier moment une course de remplacement et Jean-Pierre a adhéré à la proposition de Maurice Gachet de franchir les gorges du Daillet, en-dessus des Granges-sur-Salvan. Après une reconnaissance le lundi avant la course (et quelques problèmes de transmission de mails), nous nous sommes retrouvés à 10 participants au départ de Vevey à 7h., en covoiturage. Sur place, c’est par une météo excellente et des températures agréables que nous sommes partis pour une course qui s’annonçait plutôt facile et courte, avec montée dans les gorges et arrivée à Van d’en Bas, pour ensuite revenir aux Granges par un autre chemin.
Au moment d’arriver au départ des nombreuses marches d’escalier pour monter le long des gorges, on constate un sentier et une indication à droite pour descendre à des marmites glaciaires, à une distance non indiquée et alors que lesdites marmites ne sont mentionnées sur aucune carte. Une partie du groupe décide néanmoins, vu le temps à disposition, de s’y rendre, pendant que les autres attendent un moment avant de débuter la montée dans les gorges.
Nous finissons par nous retrouver tous à Van d’en Bas vers 10h. , après l’ascension de 654 marches ! Là, nous nous attendions à trouver l’auberge fermée (habituellement le jeudi) et oh surprise, une intense activité s’y déroulait : c’était la dernière journée pour les propriétaires de l’auberge, qui l’avaient vendue, et ils offraient à toute personne intéressée le repas de midi (soupe, raclette, buffet froid de charcuterie, desserts !…) avec orchestres, animation… Seules les boissons étaient à payer ! Nous en discutons tous autour d’une boisson et le fils du tenancier, vu qu’il était bien trop tôt pour attendre le repas sur place, nous propose une jolie balade pour « faire le joint », empruntant un sentier montant d’abord au hameau de Le Dey, juste au-dessus de l’auberge, pour ensuite suivre un sentier pratiquement à plat jusqu’à Van d’En Haut, avant de redescendre par l’autre côté de la vallée sur Van d’En Bas. Aussitôt dit, nous voilà en route à 10h. 30, rejoignant le délicieux hameau de Le Dey, constitué d’une quinzaine de d’adorables petits chalets, où un joueur de flûte nous a accueilli en musique, puis nous avons poursuivi jusqu’à Van d’En Haut, avant de traverser la rivière pour redescendre par un excellent sentier sur Van d’En Bas, que nous avons rejoint peu avant midi.
L’animation avait débuté à l’auberge, moult tables ayant été disposées sur le pré autour de l’auberge, sous des parasols, et 2 orchestres s’alternant des 2 côtés de l’auberge, sans compter des joueurs de cor des Alpes. Nous nous sommes alors régalés de soupe, de charcuterie à gogo, d’une raclette pour certains, le tout arrosé d’une « tsequée » de fendant… À 13h. 15, nous quittions les lieux, ravis par cette étape-surprise égayant une journée de marche qui s’annonçait peut-être un peu trop …reposante, et après avoir atteint un petit épaulement en forêt juste au-dessus de Van d’En Bas, nous avons parcouru la descente sur Les Granges et rejoint nos voitures vers 15h., nous retrouvant à Salvan sur une terrasse pour écluser la traditionnelle bière de fin de course ! Tous les 10 heureux de cette belle journée et remerciant Jean-Pierre Pintozzi pour l’organisation de cette course …au Breithorn, non pas dans le Binntal, mais dans le Bas-Valais !
Après quelques tentatives complexes pour calculer le prix individuel du parcours en voiture de la journée, nous avons tous (et toute) pu entonner le refrain de circonstance « Eh ben, c’était quand-même une belle course ! »
Pierre-Alain Beffa








Ma 13 août 2024
Champex- cabane de Sorniot / Col du Demecre- Champ
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Di 11 août 2024
Dent de Fenestral, arrête O
11.08.2024 : Dent de Fenestral arête O
C’est donc sur le parking Pinocchio un dimanche matin à 8h que se sont retrouvés Philippe, notre chef de course, Charlotte et David. Deux annulations ont eu lieu, c’est la vie hein !
De mon côté, Aline, je vadrouillais déjà en Valais et j’ai dormi dans mon caddy aménagé à deux pas du « pas », parking où nous nous sommes retrouvés vers les 9h du matin.
C’est ainsi que dans une bonne chaleur étouffante nous sommes montés au col de Fenestral, avec pour objectif la Dent de Fenestral. La montée se fait donc bien sentir et nous arrivons en sueur au col. Le temps de manger quelques blévita ou darvida (selon qu’on est migros ou coop) avant de mettre le baudrier.
Les cordées seront les suivantes : David et Charlotte, Philippe et moi.
De mon côté, j’ai une appréhension au vide et j'ai l’habitude d’être seconde. C’est pourquoi je demande à Philippe de leader toute la course. David qui pratique avec son père et Charlotte qui a effectué la formation alpi de 4 jours au CAS iront en réversible pour pratiquer les apprentissages ! Je suis admirative !
Philippe partira donc devant, cherchant à tout prix à monter sur les dalles de gneiss et de liquen. Le rocher est magnifique ainsi que la vue que nous avons là-haut. Et, pas des moindres, aucune cordée devant nous si ce n’est au sommet, ni derrière nous !
Après deux longueurs, je réalise que j’ai la demi-dégaine de Philippe. La partie corde et l’autre dégaine a disparu ! C’est la première fois que ça m’arrive de perdre du matériel et surtout, sans m’en rendre compte. Entre temps, Philippe aperçoit sur le chemin un bout de dégaine. Il appartient à un friends que quelqu’un a laissé là dans la voie. S’en suit le débat que si on a laissé du matériel, bien heureux sont ceux qui le retrouvent !...
Mais impossible de tirer sur le friends, ce beau friends flambant neuf et bleu restera dans les entrailles du gneiss de la Dent de Fenestral.
Bref, il est temps de revenir sur le fil de l’arête et affronter ce passage dans la vide pour moi qui me fait peur. Le pire, c’est que je l’ai déjà fait et je ne me souviens plus comment… Je finis par me contre assurer avec une dégaine, l’enlever après avoir fait le pas. Ma fois !
David et Charlotte prennent le feuillet avec élégance et continuent en toute sérénité derrière moi.
Un autre pas ne me rassure pas et là je suis en plein shooting photo devant par Philippe, derrière par Charlotte. J’espère qu’on y lira la crispation sur mon visage !
Nous sommes quasi arrivés au sommet que Philippe me propose d’aller jusqu’à la croix seule. Si si, j’affronte ma barrière mentale et pars mettre mon premier friends et y glisser la corde dans la dégaine. Ça se fête non ?!
Arrivés à la croix, un relai s’y impose. Charlotte m’a suivi pour m’encourager de toutes ses cordes vocales avec bienveillance. Un demi nœud d’amarre que me remontre Charlotte et je le refais une fois ou deux avant de le crocher dans le mousqueton rose relié à la croix, tenu par une sangle. C’est pas beau ça ?
Les hommes arriveront donc, par galanterie, en second. La génération 2024 est belle ! Nous saluerons par la même occasion les 40 ans d’années de chef de course de Philippe. Il mériterait bien une bonne bouteille de rouge plutôt qu’une inscription à vie dans une salle de Fitness (c’est qui déjà qui gagne ça, Charlotte ?).
A la Croix, un petit pic nic s’impose ainsi qu’un tri du matériel. La chaleur reste omniprésente et malgré les orages probables annoncés qui ne viennent pas, il est l’heure de descendre ! Deux rappels s’imposent. Philippe me rappelle bien de regarder où sont les cordes qu’elles ne se coincent pas. Ça c’est bon, je gère !
On arrive donc au sentier et il nous reste qu’à crapahuter sur trois quatre cailloux et deux trois névés avant de revenir au col.
La descente sera interminable pour ma part car je ne fais que de penser à tremper les pieds au lac. (Oui, bon, faudrait pas que je descende le Weisshorn alors…)
Un petit stop pour boire un jus (bière ou coca ou diabolo menthe pour les filles) à Finhaut et débattre sur les autorisations et iinterdictionsde bivouac en Suisse et ailleurs. Il faudrait poser la tente à un minimum de 2400 m, selon Philippe. Chose que j’ignorais ! Par contre, je suis au courant qu’il y a des zones de tranquillité accessibles visuellement sur suissemobile ou sur zone-de-tranquilite.ch. Nous blablaterons encore un peu avant de se séparer pour de bon à Finhaut.
Il est l’heure pour moi de tremper mes pieds au lac (j’en rêve depuis samedi matin) boire une IPA, manger un burger, en regardant les femmes sirènes se dandiner sur le caillou en maillot de bains. Ici, aucun risque de chute de pierre assuré !
Cordialement,
Aline Metry








Sa 10 août 2024
Cours "Pose de friends et coinceurs" à Emosson
La pose de friends et de coinceurs, un sujet passionnant sur lequel Nicolas Vuadens, guide de haute montagne, a proposé cette année dans le programme Section, en grande nouveauté, un cours de perfectionnement.
Le choix du lieu s’est porté sur la région du lac d’Emosson, dont le granit de haute qualité offre de nombreuses fissures, propices à la pose de protection amovibles. La première journée s’est déroulée dans une falaise école, dans laquelle trois belles fissures non-équipées ont permis une entrée en matière idéale à l’escalade en trad. Maîtriser les bases de la pose de protection et gagner en confiance dans la pose de ce matériel, voici quels étaient les objectifs de la journée.
Une fois les bases posées, le programme du 2ème jour a consisté en une longue voie partiellement équipée nommée « Paloma Bianca » (et conseillée par le légendaire Michel Piola). Les quelques longueurs de cette voie on permis une mise en application idéale, avec des longueurs allant jusqu’au 5C.
Un grand merci à Nicolas pour le soin apporté à l’organisation de ce cours, qui n’a pas manqué de répondre aux besoins de tous les participants !






Ve 9 août 2024
Les Becs Noirs - Arête N
Vendredi dernier, 6 membres de la section se retrouvaient dans la région du Grand Saint Bernard pour la traversée des Becs Noirs, une course comprenant 4 longueurs de grimpe, un peu de marche, encore une longueur de grimpe et un parcours d’arête pour atteindre le sommet principal. Merci à Thibaut pour l’organisation de cette course dans un panorama superbe!





Je 8 août 2024
Animation
Qui l’eut cru ? Ce jeudi à 11h, brouillard au col de Jaman. Impossible d’apercevoir les filets des ornithologues. L’organisatrice, accompagnée de son petit-fils, s’acheminent sur le chemin qui mène au chalet avec de lourdes charges. Un record (pas seulement aux jeux olympiques) 23 personnes inscrites pour cette soirée qui, espérant le, pourra se tenir sous un ciel dégagé.
En attendant, nous préparons le chili con carne, la ratatouille, la crème au chocolat et la salade de fruits. A 14h, Bernard (membre de la commission du chalet de Jaman) nous rejoint avec ses deux petits-fils et finissons de couper les fruits.
Maintenant que les renforts sont là, nous aménageons la terrasse pour recevoir nos hôtes. Grande et petite tables, bancs, parasols. Petit à petit le brouillard se lève, pour laisser apparaître un soleil radieux (merci là-haut). Juste avant de rejoindre le col pour accueillir nos invités, nous coupons nos petits légumes, salami, et viande séchée (et hop au frigo) pour l’apéro. Maintenant tout est prêt pour les régaler.
Il fait un temps magnifique et chaud. Tout ce petit monde papote de droite à gauche, fait connaissance et surtout admire la vue depuis la terrasse (c’est la plus belle vue du lac Léman du canton de Vaud 😊).
Notre animateur Gilles Carnal est arrivé avec un grand sourire, il est ravi d’avoir autant de monde pour son spectacle. Mais il faut bien attendre 21h45 avant que cela commence. Néanmoins nous profitons du magnifique coucher de soleil de 20h54 précis, comme annoncé par Yvon, chef de course de la Section. Quelques personnes enfilent le pantalon, le pull chaud car à 1'500 mètres, une fois le soleil couché, il fait frisquet. D’autres profitent d’aller faire la vaisselle (un grand merci à vous toutes et tous).
Le groupe se déplace au col pour une vue plus grande du ciel avec, lampe frontale pour le chemin bousé par les vaches et une paire de jumelles. Nous apercevons une toute petite lune orangée qui tire sa révérence pour se cacher derrière les montagnes. On reconnaît : la Grande Ours, la Petite Ours, puis l’étoile brillante orangée Arcturus, qui constitue avec Spica et Régulus le triangle du printemps. Nous apercevons également Véga, qui est la cinquième étoile plus brillante du ciel et avec Deneb et Altair, toutes trois, forment le triangle d’été. Nous avons la chance d’observer également une pouponnière (= amas de poussière où naîtront des milliers d’étoiles). Entre deux, nous apercevons quelques petites étoiles filantes et surtout un nombre incroyable de satellites et d’avions qui traversent le ciel. Nous pouvons observer à l’œil nu, la Voie lactée qui passe sur nos têtes et se dirige vers les Rochers de Naye en se divisant en deux bras. Cerise sur le gâteau, Saturne apparaît au-dessus de la Dent de Corjon, hélas cette année et l’année prochaine, cette planète n’est pas dans la bonne position pour bien voir son anneau. Néanmoins toute la foule est heureuse de la voir et peut soit retourner au chalet ou redescendre en plaine.
Un chaleureux remerciement à Gilles, à toutes les participante: Yolande, Nol, Madeleine, Sylvia, Leila, Catherine, Hélène, Caroline, Isabel, Mégane, Céline, Martine, et à tous les participants: Théo, Nathan, Valentin, Clément, Yvon, Christian, Bertrand, Romain et Bernard.








Me 7 août 2024
Gstaad-Lauenensee
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Me 31 juil. 2024
Restipass
En raison d’une neige persistante dans la région du Restipass, les mercredistes s’en vont explorer une région en Savoie voisine.
Départ de notre randonnée depuis le parking de la Fétiuère au-dessus de Bernex.
Ce sont 15 randonneurs qui, sac au dos, commencent à grimper pour une durée de 1h30 sur un sentier pierreux, dans un écrin de verdure, jusqu’aux Chalets d’Oche qui se trouvent à 1635m. Le soleil est radieux et la chaleur commence à se faire sentir à la sortie de la forêt.
Enfn arrivés à la Buvette, nous profitons d’une petite pause afin d’étancher notre soif en buvant un délicieux jus de pommes.
Le gardien est sollicité pour nous vendre du fromage d’alpage et nous fait même déguster de la mousse de lait de chèvre car il nous apprécie!!!!….et tout un chacun sait que nous sommes des gourmandes!!!!……
Après quoi nous nous remettons en route jusqu’au Lac de la Case.
Après un certain temps de marche, le groupe se scinde en deux. Pour les plus motivés, montée à la Pointe de Pelluaz et pour les autres descente à Pré Richard.
Nous reprenons les voitures après cette magnifique journée et nous nous retrouvons chez Antoine afin de nous offir une récompense bien méritée.
Ariane.








Sa 27 juil. 2024
Travaux - Bivouac de la Dent Blanche
Notre cheffe de course et son adjoint nous ont préparé une sortie construite sur
plusieurs étages : un premier floral, un second minéral et un troisième glaciaire.
Départ de Ferpècle à 8h avec distribution d’oreillers fraîchement lavés et recousus par Mireille, à remonter au bivouac. Ainsi, nos sacs et nous-mêmes sommes gonflés à bloc pour entamer la montée.
Après six bonnes heures de marche, nous arrivons au bivouac de la Dent Blanche.
Nous nous requinquons avec un apéro : fromages, olives, crudités de légumes, pain, agrémentés d’une petite sieste au soleil pour certain.e.s d’entre nous.
Nous nous rappelons alors que nous sommes là pour travailler… Nous érigeons donc un mur pour délimiter clairement la zone dangereuse qui mène aux toilettes du bivouac, sous la conduite experte de nos architectes en chef.fe. Nos quatorze bras à
l’œuvre permettent d’obtenir en une heure un mur d’une vingtaine de mètres un peu en retrait de fissure qui est en train de s’ouvrir dans le terrain. Nos chef.fe.s font alors appel à leur indéniable talent artistique, calligraphique et linguistique pour peindre en
rouge sur la pierre quelques « x », « DANGER » et autres « Achtung ».
Cette besogne terminée, nous allons chercher l’eau du névé fondant pour préparer la
polenta aux champignons qui nous calera toute la nuit. C’est tellement délicieux que certain en garderons une portion au frais pour le petit déjeuner du lendemain…
Dimanche, deux courageux se lèvent avant l’aurore et partent après l’averse pour la traversée du Grand Cornier. Les cinq autres font une mini grasse matinée et
redescendent sur Ferpècle. Un arrêt réhydratation au Petit Paradis marque la fin de ce magnifique week-end.
Un grand merci à Anastasia et Robin pour l’organisation. Merci à toute l’équipe pour les moments de partage et la bonne ambiance. Au plaisir d’une prochaine aventure en montagne.








Je 25 juil. 2024
Les Baudes les Merlas Lac de Coudré
Départ de la randonnée du parking des Baudes, commune de Grandvillard, 370 m de dénivelé pour rejoindre la cabane de Bounavaux, très joli refuge dans un écrin magnifique de la réserve naturelle du plus haut sommet fribourgeois, le Vanil Noir et à proximité du joli lac de Coudré.
Mais c’est vers le Van que nous dirigeons par un sentier mixte pierreux/terreux au travers des alpages bien pentus en passant par le col et le chalet de Tsermon, alt. 1791m pour enfin atteindre le premier objectif du jour à 1965m. Pic-nic au pied d’une superbe croix métallique avec sa traditionnelle « gamelle bloc note » posée par les scouts de la région avec vues somptueuses sur les Dents de Brenleires et Folliéran. Nous voilà reparti vers notre 2ème objectif, proche voisin, les Merlas à 1907m.
Ensuite nous parcourons la crête des Merlas, franchissons de nombreuses clôtures pour rejoindre le parking des Baudes. Très belle randonnée par temps magnifique.








Sa 20 juil. 2024
Traversée des Perrons
Un menu 5 🌟
Tempête de ciel bleu, 3 cordées composées de Thomas et Justine, Thibault et Olga, Anne et Ariane
Belle ambiance, décor grandiose qui nous a fait patienter dans l attente des rappels … On était pas seuls 😅
Grimpe ludique, y a du gaz, du beau rocher, on s’est régalé !
Merci Thomas pour l organisation 🙏🏼
Ariane






Je 18 juil. 2024
Gorges de la Jorgne
Les Gorges de la Jogne.
Après environ 1h de transport public nous arrivons à Morlon, patrie de notre collègue Maurice. Après le café nous longeons le lac de Gruyères jusqu’à Broc où la Jogne (anciennement appelée Jaunia, la Froide), notre but du jour, se jette dans le lac de Gruyères au niveau de la maison Cailler.
En cette journée très chaude nous apprécions cet havre de fraicheur qui nous amène au barrage de Montsalvens au travers de ponts de bois, tunnels et galerie au cœur d’une nature luxuriante. Arrêt le pic-nic au barrage, retour par Châtel-sur-Montsalvens et les ruines du château de Montsalvens sur la commune de Broc, château construit au 12ème siècle dont il ne reste qu’une tour carrée de 12 mètres de côté et d’une quinzaine de mètres de hauteur.
Depuis Broc nous empruntons la nouvelle ligne de chemin de fer à voie normale qui a remplacé la voie métrique en 2023. A remarquer qu’une partie du tracé comporte 3 rails et 2 électrifications différentes afin de cohabiter avec la ligne Bulle-Monbovon, faute d’espace suffisant.






Me 17 juil. 2024
Les Haudères Lè Farquéss lAta Gieute Arbey
Après un bon café-croissant pris aux Haudères, offert par Myriam aux 19 participants, pour marquer un chiffre rond (mais on ne sait pas lequel?), le groupe s’élance dans la montée par une magnifique journée ensoleillée en direction du Lac Arbey. C’est un vrai balcon, très varié, traversant hameaux, forêts, avec des points de vue sur le flanc opposé de la vallée ainsi que des magnifiques fenêtres visuelles sur le fond de celle-ci qui donne sur notre mythique Dent Blanche. Pique-nique au lac et descente sur Evolène où nous attendait une boisson fraîche et le bus du retour. Un grand merci à Judith (chef de course) et sa suppléante Josette.
Anne-Marguerite








Ve 12 juil. 2024
Traversée du Blanc de Moming (3661m)
Notre belle aventure commença ce vendredi 12 juillet par un trajet en train puis en bus au départ de Vevey vers 7h30 pour arriver à Zinal vers 10h. Les prévisions annonçaient une pluie certaine (plutôt intense par endroits). Mais c’est par bonheur que notre groupe de 6 mené par notre chef de course Ewan avons entamer notre périple sous un ciel certes couvert mais tout de même ensoleillé (nous avons même sorti la crème solaire). Ce n’est qu’après les 300 premiers D+ que la pluie se manifesta. C’est donc dans la brume et « à la fraîche » que nous avons grimpé les 1000MD+ restant jusqu’à la cabane. Sentier exigu qui longeait le Besso (qui nous était alors caché), constitué sur la dernière portion de pierriers et de névés. Nous avons même traversé un magnifique pont suspendu au-dessus d’une cascade mais dont les nuages nous en cachaient la profondeur. Pont que nous traverserions le lendemain avec cette-fois tout le beau nécessaire pour en contempler les alentours.
Nous sommes arrivées vers 14h15 à la jolie cabane du Grand Mountet situé à 2886m. Toujours dans la brume et sous la pluie. Nous avons pris plaisir à finir notre dîner au chaud tout en savourant un bon thé à l’hibiscus et de bon gâteaux maison servis par des gardiens passionnés et très accueillants.
Nous étions 3 groupes dans cette cabane, soit une quinzaine d’alpinistes sur une centaine de places disponible. C’est donc avec bonheur que certains ont pu se ressourcer par une bonne sieste en cabane (fait plutôt rare). Vers 17h nous avons découvert les alentours et les nuages s’étaient dissipés pour laisser apparaître les magnifiques sommets environnants et leurs glaciers. Nous avions une vue imprenable sur la Dent Blanche, le Grand Cornier, le Roc Noir et en marchant un peu le Zinalrothorn nous dominait de ses 4221m. Nous avions pour seul fond sonore, le bruit des glaciers, l’eau qui s’écoule avec résonance à travers la glace. Je ne me suis, pour ma part, rarement sentie aussi petite et humble.
Après un bon souper et une bonne nuit nous sommes partis le lendemain vers 5h45 au petit jour. Nous avons rapidement atteint le début du glacier, mis nos crampons et nous sommes encordés. Nos 3 cordées ont bien progressé sur le glacier du Mountet qui était parfois truffés de «crevasses» que nous avons contournés mais qui procuraient tout de même un sentiment d’appréhension et de profonde humilité. Nos 1ers de cordées, très concentrés, ne s’en sont pas sentis déstabilisé et nous ont très bien guidé sur cette «immensité blanche».
Après avoir (enfin) atteint le col au début de l’épaule du Zinalrothorn, nous découvrîmes cette magnifique arête du Blanc de Moming toute enneigée (non tracé !) mais où perçait ces amoncellements de roche paraissant si instable mais pourtant plutôt fiable une fois le crampon posé dessus.
Notre progression à moitié sur neige et sur rocher débuta. Tout un exercice où l’arête est notre seule repère, ancrage, qu’il ne faut jamais quitter des yeux. C’est donc avec force de concentration que nous avons enchaîné des progressions tantôt de côté (un pied neige, un pied roche), debout avec les pieds à la Chaplin, et même à califourchon. Mais mon souvenir le plus « adrénaline » reste la partie où chacun se crante dans la glace et progresse de part et d’autre de l’arête. Expérience inoubliable. Impossible de profiter pleinement du paysage car l’heure n’est pas à l’admiration mais à la sécurité. Cela n’a rien enlever au plaisir, bien au contraire (bien que cela soit venu une fois l’arête vraiment passée).
A coup de piolet et de cramponnage dans la glace, nous sommes parvenus au bout de l’arête enneigée mais au début de l’arête rocheuse à 3640m. C’est alors que nous croisâmes nos compagnons français de la cabane. Ils ont pris une arête alternative en sens inverse et ont tenté de contourner par notre arête. Mais nous apprîmes plus tard ou nous supposions qu’ils n’en ont rien fait. De sûr un guide et sont client nous ont recroisé en sens inverse en saluant l’exploit car ils ont, eux, préféré rebrousser chemin.
Nous n’avons pu que saluer la démarche d’Ewan d’avoir planifié la course en ce sens, qui nous a permis de profiter pleinement de la dureté du glacier et de l’arête au petit matin.
La descente de l’arête rocheuse se fit sur son fil. Vigilance constante car le bon passage n’est pas toujours si évident à deviner. Nous avons terminé la descente par un petit rappel et avons retrouvé la cabane vers 15h. Pause-café/gâteau oblige afin de se ressourcer avant les 1300D- à effectuer avant 19h22 heure à laqelle nous avons pu attraper le bus. La descente bien que soutenu fut riche en paysage. Tous ceux que nous n’avions pu admirer la veille. Composés à la fois de roches brutes , de coteaux fleuris à souhait le tout traverser par de petits ruisseau comme des rivières redoutables (à faire vaciller les ponts !). De quoi se donner du baume aux genoux pour la dernière ligne droite.
CAS Jaman ne se quitte pas sans un pot ! que nous avons eu sur les quais de la gare de Sierre !
Merci à tous mes compagnons : Ana Maria, Silvia, Kevin, Lourenco et bien sûr Ewan, super chef de course. Très patient et pédagogue. Personnellement, c’est ma première sortie « alpine » cette année et j’ai eu l’impression d’avoir vécu et appris l’équivalent de tout un été ! J’en ressors grandie et des souvenirs riches en émotions.
Merci à tous !
Merci Ewan !







